Le Coin Formule 1

arroser les circuits bernie doit pu avoir beaucoup de moquette chez toi
Vous avez vu Red Bull Renault devient Red Bull Infiniti

Quelle idée stupide
"Hé, si on mettait de l'huile aussi, pour faire du drift, c'est à la mode non?!"
Faut arrêter la moquette...je te jure

Pour Kamui Kobaysahi, le retour du SREC et l'intégration d'un aileron arrière ajustable ne sont pas garants de courses plus spectaculaires. Toutefois, c'est le cas des pneus Pirelli affirme le pilote Sauber.

Les systèmes de récupération de l'énergie cinétique (SREC) permettront aux pilotes d'utiliser une réserve de puissance pendant quelques secondes, et ce à volonté. Il risque d'être très sollicité lors des départs.

Quant à l'aileron arrière ajustable, censé faciliter les tentatives de dépassement, ce dispositif permettra aux pilotes de diminuer la traînée de la voiture lorsque actionné et ainsi gagner 10 à 15 km/h. Libre à eux de s'en servir à tout endroit lors des essais et des qualifications. Pendant la course, son utilisation sera restreinte à une zone de 600 mètres sur la plus longue ligne droite du circuit, à condition que le pilote se trouve à moins d'une seconde de son adversaire.

Est-ce que ces deux appareils encourageront les attaques lors des courses ? Peut-être, répond Kobayashi : "Aujourd'hui, je dirais oui, mais je ne crois pas que le SREC aidera beaucoup puisque tout le monde ou presque l'aura. Alors il ne reste que l'aileron arrière, mais je ne sais pas si cette idée d'un écart d'une seconde fonctionnera vraiment."

La complexité du volant

Déjà qu'un volant de F1 est couvert de boutons et de réglages qu'un pilote doit constamment vérifier et ajuster, l'ajout des contrôles du SREC et de l'aileron arrière n'a fait que complexifier la situation. Plusieurs pilotes s'en sont plaints, les ingénieurs reconnaissent qu'il y a un problème.

Pour éviter toute distraction, les pilotes devront maintenir un niveau de concentration très élevé. Certains observateurs prédisent déjà des erreurs d'inattention, mais Kobayashi est d'avis que les essais pré-saison suffiront pour se familiariser avec l'opération des nombreux boutons sur le volant. La véritable question est ailleurs.

"Le plus important, c'est de savoir comment améliorer les chronos grâce aux nouveaux systèmes, et par quelle marge", dit-il. "C'est la tâche du pilote. Ceux qui se débrouillent bien auront l'avantage sur les moins efficaces. Je pourrai certainement gérer tout ça."



Pirelli et les stratégies

Les nouvelles gommes fournies par Pirelli, conçues pour être moins durables, forceront les pilotes à effectuer au moins deux arrêts par course, sinon trois à l'occasion. Les stratégies seront difficiles à prédire, en plus d'être directement affectées par le talent du pilote.

Si la conduite est trop agressive, un arrêt pourrait avoir lieu plus tôt que prévu. Cela aura comme conséquence de chambouler le plan de course. De plus, les derniers tours pourraient s'avérer imprévisibles puisque la performance des gommes varie énormément selon leur usure. Tous les pilotes s'entendent sur l'importance cruciale des pneus.

"Dans tous les aspects, ces pneus sont différents à ce que nous étions habitués", affirme Kobayashi. "Le grip est moindre, les pneus ne durent pas aussi longtemps, et si vous les gérez mal, la perte de performance est dramatique. Peut-être cinq secondes au tour."

"Ces caractéristiques ne sont pas le résultat du hasard. Les pneus vont provoquer un grand nombre d'arrêts et donner des courses excitantes."

Source: espn f1.

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Bernie Ecclestone, dans la peau d'un patron d'écurie, ferait en sorte que ses pilotes n'aient pas envie de participer à des activités sportives risquées autres que celles reliées à la F1. Pour le président de Formula One Management, c'est une question de logique.

"Si vous pouviez choisir le genre d'accident dans lequel vous seriez impliqué, tout le monde choisirait une voiture de Formule 1", déclare-t-il au site officiel de la catégorie reine.

"Vous vous souvenez de Montréal 2007 ? L'accident de (Robert) Kubica était horrible et pourtant il s'en est sorti avec une commotion cérébrale et une cheville foulée. Cela démontre clairement que la Formule 1 est véritablement sûre."

Mais la tentation demeure chez certains pilotes. L'accident de rallye de Kubica est un exemple parfait des risques auxquels ils s'exposent ; le Polonais pourrait rater la saison entière. On se souviendra qu'en 2009, Michael Schumacher n'a pu remplacer Felipe Massa car une vertèbre de la nuque n'avait toujours pas suffisamment guéri plusieurs mois après une chute en moto.

Après la saison 2008, Mark Webber s'était cassé une jambe et blessé une épaule lors d'une compétition de vélo. Heureusement pour lui, il disposait de plusieurs mois (et d'une tige métallique dans la jambe) pour se remettre sur pied avant le début du championnat 2009. Et en novembre dernier, Heikki Kovalainen terminait une épreuve avec fracas lors de la Course des Champions et s'en sortait avec une commotion cérébrale.

La suggestion de Bernie

"Prohiber certaines activités, cela ne signifie pas contrôler leurs temps libres", précise Ecclestone. "J'ai ma propre idée sur la façon de gérer une telle situation."

"Prenons l'exemple de Kubica. Entre deux essais (pré-saison), il s'est inscrit dans un rallye et a eu son accident. Moi, je lui aurais dit : 'Écoute, tu feras un rallye la semaine prochaine alors j'imagine que tu seras trop fatigué pour les essais du week-end suivant. Alors ton coéquipier et le pilote de réserve vont les faire'."

"Pensez-vous vraiment qu'il aurait pris la chance d'aller faire un rallye ? Je ne crois pas."

Source: espn f1.

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Nelsinho Piquet admet qu'il en a terminé avec la F1 tandis que Bernie Ecclestone promet que Kimi Räikkönen ne reviendra pas.

"J'ai été en contact avec les gens qui ont racheté Toyota", a déclaré Piquet, qui fait référence à l'homme d'affaire serbe Zoran Stefanovic. "Bernie était dans le coup et je pensais que c'était sérieux. Mais après cela, il m'a fallu être réaliste. Mon rêve n'était pas d'être en F1 pour le fun et le glamour. Je voulais être champion mais il n'en a pas été ainsi."

"(Revenir), c'est très compliqué, même pour un pilote comme Michael Schumacher. Ce n'est pas facile à mettre en œuvre. Est-ce que je veux revenir et faire face aux mêmes histoires politiques ? Non. La F1 c'est spectaculaire à voir à la télé mais, maintenant, je pense à la NASCAR."

Alonso innocenté

Piquet, qui s'exprimait dans un journal de Sao Paulo, a aussi tenu à innocenter son coéquipier d'alors Fernando Alonso dans le scandale du Crashgate qui a précipité sa fin de carrière en F1 : "Ce qu'il s'est passé n'est pas de sa faute".

Quant à Räikkönen, qui lui est parvenu à accrocher le titre de champion, c'est Ecclestone qui parle pour le néo-rallyman.

"Personne ne sait vraiment pourquoi Kimi a quitté la F1 et beaucoup de gens ont essayé de l'y ramener", affirme le président de la FOM dans Kicker. "Mais Kimi a décidé de faire autre chose et il continuera."

Source: espn f1.

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Le nouveau manufacturier unique de la F1 Pirelli répond aux critiques qui se sont abattues ces derniers jours sur ses gommes.

Plusieurs pilotes, dont le champion du monde Sebastian Vettel, ont émis des craintes, cette semaine, sur la dégradation trop rapide des pneus Pirelli. C'est d'ailleurs un refrain qui revient de manière régulière cet hiver.

La marque italienne a tenu à y répondre dans une communiqué qui est paru les journaux transalpins. Elle reprend la même argumentation qu'il y a quelques semaines.

"La dégradation accrue est une caractéristique qui a fait l'objet d'une demande spécifique des organisateurs pour plus de spectacle", rappelle Pirelli pour sa défense. "C'est une chance pour la F1 et non un problème."

"Pas dans les meilleures conditions"

"Il doit aussi être signalé que nous n'avons pas roulé dans des conditions optimales lors des essais hivernaux. À la fois en termes de température et de conditions de piste."

"Nous espérons qu'à Barcelone, la semaine prochaine, les conditions vont permettre à tout le monde de mesurer la performance de nos pneus", ajoute le communiqué.

"Nous allons continuer de travailler en étroite collaboration avec les équipes en écoutant leurs commentaires de la manière la plus attentive."

Source: espn f1

Pirelli, le pneumaticien de la F1, apprécie l'idée émise par Bernie Ecclestone, de "faire pleuvoir" pendant les courses de F1.

Vous avez réagi sans ambiguïté sur notre page Facebook pour rejeter la proposition du président de la FOM d'installer un système d'arrosage sur certains circuits et de l'actionner pour rendre les courses plus spectaculaires mais Pirelli a aimé.

"J'ai trouvé que les commentaires de Bernie Ecclestone ont été très intéressants", a déclaré le patron de Pirelli Motorsport Paul Hembery à Autosport.

Il faut dire que le Britannique est aussi un peu à l'origine de cette idée : "Après nos essais sur une piste arrosée à Abou Dhabi je l'ai vu et je lui ai dit 'pourquoi ne pas faire des courses avec des pistes humidifiées artificiellement ? La technologie des asperseurs nous le permet".

L'exemple des courses en nocturne

"Du point du vue du pneumaticien, il n'y a pas de difficulté. Nous avons eu de grandes courses dans le passé quand un facteur extérieur, comme la météo, s'est mis de la partie. Alors pourquoi pas ?"

"Le but, au final, c'est de proposer quelque chose que les gens vont regarder", a-t-il ajouté. "La F1 est en concurrence avec d'autres sports. Les gens veulent voir quelque chose d'intéressant. Et de ce point de vue une piste détrempée de manière artificielle pourrait donner du spectacle."

"Un bon exemple d'une idée radicale qui a apporté un plus est le Grand Prix de Singapour. On aurait pu penser que courir sous une lumière artificielle fût superflu. Mais au final on a l'un des Grands Prix les plus attractifs de la saison."

Source: espn f1.

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D'après Sebastian Vettel, les pilotes devront s'attendre à effectuer au moins trois arrêts lors des Grands Prix, conséquence de la courte durée de vie des gommes Pirelli.

"Les pneus sont très différents (…) Je crois que les courses vont changer", opine le champion du monde en titre. "Je crois qu'un arrêt est actuellement impossible, deux aussi. Je m'attends à des courses de trois ou quatre arrêts."

"Cela rendra les choses très intéressantes", continue le pilote Red Bull. "La question, c'est de savoir s'il s'agit d'une bonne ou d'une mauvaise chose pour nous. C'est difficile à dire pour le moment car évidemment, il faudra voir comment se dérouleront les courses."

Pirelli, autre avis

Les gens de Pirelli, qui ont de nouveau défendu leur approche mercredi, ne sont pas du même avis. Ils ont toujours privilégié des gommes moins durables, question de rendre les courses imprévisibles. Mais l'objectif demeure des Grands Prix à deux arrêts.

"D'après les données que j'ai vu, je me demande pourquoi quelqu'un pense faire quatre arrêts", a récemment dit Paul Hembery, le patron de Pirelli Motorsport. "J'en prévois toujours deux. Dans le pire des cas, peut-être trois."

"Mais quatre, ça ne correspond pas aux données. Ce serait très étrange."

Source: espn f1.

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Luca di Montezemolo a critiqué les nouveaux règlements de la F1, estimant que le volant qu'utiliseront les pilotes cette saison semble comme ''venu de Mars''.

Cette remarque peu amène a été prononcée à l'occasion du passage du président de Ferrari au salon de Genève. Elle fait bien entendu référence aux nouveaux boutons qui sont venus hérisser le tableau de bord des monoplaces et qui servent à manipuler le SREC et l'aileron arrière ajustable.

Un penalty sans gardien de but

"Les règlements actuels n'ont rien à faire en F1", a ajouté le dirigeant relayé par le journal finlandais Turun Sanomat. Visiblement en verve, l'Italien est aussi revenu sur la fin de saison de 2010. Il a assimilé la perte du titre sur la dernière course, à Abou Dhabi, à "rater un penalty au football alors qu'il n'y a pas de gardien".

En fait, seul le marché automobile semblait trouver grâce à ses yeux. "Si vous humez l'ambiance", a-t-il confié au journal New York Times. "Vous la trouverez meilleure qu'il y a quelques années." Ferrari a présenté à Genève sa Ferrari FF.

Source: espn f1.

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Si cela ne tenait qu'à lui, Sebastian Vettel ne courrait pas le Grand Prix de Bahreïn cette année.

Officiellement reportée, le 21 février, en raison des troubles politiques et sociaux dans le royaume du Golfe, la course qui devait ouvrir le Championnat 2011 le 13 mars devrait reprendre place dans le calendrier en août ou novembre.

Mais aucune de ces deux dates ne semble convenir au champion du monde. Les températures caniculaires (40°C) de l'été effraient tout le paddock et alourdir la fin de saison lui semble difficile. "Elle est déjà assez stressante", a déclaré le pilote allemand dans le journal Turun Sanomat qui l'a interviewé en marge du salon de Genève, "et de toutes façons, nous avons déjà suffisamment de courses."

Source: espn f1.

plus de f-duct cette année ? dommage... ça aurait été marrant pour les pilotes, abaisser l'aileron a fond, mettra la main gauche sur le trou pour boucher le truc + appuyer sur le bouton du kers histoire de tenter de doubler ! enfin pas de chance pour eux le mec d'à côté a les même option dans sa voitures... ha la F1, quelle bonne tranche de rigolade et hop freinage ! retirer la main, ajuster les freins (juste après avoir abaisser l'aileron, enclencher le kers, boucher le trou du f-duct pour le début du bout droit), remettre l'aileron en position, retirer son doigt du kers... omg... nan c'est pas dangereux la F1 mais on fait tout pour que ça le redevienne

Dénoncée sinon moquée par les fans, l'idée de Bernie Ecclestone d'arroser une piste sèche pendant une course est prise au sérieux par plusieurs figures de la F1.

Outre Pirelli, dont on sait que le pneumaticien est à l'origine de cette idée, l'ancien vainqueur de Grand Prix Johnny Herbert est lui aussi intéressé. "Les gens disent que c'est artificiel mais les conditions seraient les mêmes pour tous. Beaucoup des plus belles courses de F1 se sont déroulées sous la pluie."

Un autre ancien pilote britannique, John Watson, ajoute dans la presse de son pays : "Je l'ai proposé à Bernie dès 1994 ... Les fans veulent voir des courses excitantes, où les pilotes doivent s'employer."

Source: espn f1.

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Même s'il estime que les rumeurs qui font de lui le futur manager de Lewis Hamilton ne sont que "pures spéculations", l'ancien champion du monde Mika Häkkinen se dit disponible.

À la recherche d'un manager depuis plus d'un an, date de sa rupture professionnelle avec son père, Lewis Hamilton a engagé un cabinet d'avocats pour gérer ses affaires mais il est toujours tenté de s'adjoindre les services d'un conseiller connaissant très bien le milieu de la F1.

Proche de l'ancien pilote McLaren, qui a lui-même rejoint son ancien agent Didier Cotton pour créer une structure de management de pilotes, Häkkinen reste le favori n°1. "Nous nous connaissons depuis longtemps et, il le sait, je suis prêt à aider si le besoin s'en fait sentir", a déclaré Häkkinen dans la presse allemande.

"Il est toujours intéressant de s'intéresser aux jeunes pilotes parce que cela fait rajeunir aussi et c'est beaucoup de plaisir."

Source: espn f1.

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Les manifestations violentes qui secouent le monde arabe pourraient pousser la F1 à revoir ses contrats pour ne plus inclure ces troubles socio-politiques dans la clause de force majeure.

La force majeure est juridiquement décrite comme un événement inattendu, imprévisible, qui a pour conséquence l'annulation de l'accord sans qu'une partie ou l'autre ne soit tenue pour responsable. Le report du Grand Prix de Bahreïn est probablement tombé sous le coup de cette clause et c'est pourquoi Bernie Ecclestone n'a pas demandé de dédommagement aux organisateurs locaux (la famille régnante de Bahreïn) pour avoir failli à leurs obligations de recevoir la première course de la saison 2011.

Mais à l'avenir, les détenteurs de droits auraient tout intérêt à exclure de cette clause les troubles sociaux, explique Charles Russell, l'un des juristes les plus en pointe de Grande-Bretagne en la matière.

Les pays hôtes seraient prêts
à prendre des risques

"Avant les manifestations en Afrique du Nord il était peu probable que les événements à Bahreïn, qui ont été à l'origine de l'annulation de la course étaient placés très haut sur la liste des risques. Cependant, le contrat désignant Bahreïn comme lieu de la course devait certainement contenir une clause de force majeure qui affranchissait le pays hôte de toute responsabilité", déclare Russell.

Il ajoute : "Dans le futur, cette clause de force majeure devrait être formulée de manière plus attentive pour en exclure les troubles sociaux et politiques". Cela aurait pour conséquence de faire courir plus de risques aux pays non démocratiques qui organisent des Grands Prix et au final aux populations victimes de répression.

Jonathan Walters, avocat spécialisé dans le sport au sein du cabinet Russell, affirme, dans un billet publié sur le site du cabinet : "Selon mon expérience, le désir d'accueillir des événements du prestige d'un Grand Prix de F1 donne au détenteur des droits un avantage significatif dans les négociations et encourage les pays hôtes à prendre des risques qui ne pourraient normalement pas être acceptables".

Source: espn f1.

Pirelli souhaite tester ses gommes pendant la première séance d'essais du vendredi lors des week-ends de Grands Prix. Ce projet pourrait débuter en Malaisie.

Le règlement interdit aux écuries d'effectuer des essais privés pendant la durée du championnat, mais le nouveau fournisseur de pneus de la F1 préférerait avoir l'opportunité de continuer le développement de ses produits.

Pirelli donnerait deux trains de pneus expérimentaux à chaque équipe, qui débuteraient la première période d'essais en évaluant le comportement de ces gommes et en accumulant des données.

"Après avoir utilisé ces trains supplémentaires, les écuries pourraient ensuite chausser les trains habituels pour le reste du week-end", explique le directeur de Pirelli Motorsport, Paul Hembery, à Autosport. "Nous avons demandé aux équipes si elles sont d'accord avec ce plan."

Ce scénario sera certainement moins coûteux que l'autre option envisagée, soit celle de tester les nouvelles formules de gomme le lundi, au lendemain de la course.

Pratique et économique

"Il fallait trouver une solution économique", souligne Hembery. "Fournir des pneus supplémentaires n'entrave pas les simulations de course des équipes. Et cela signifierait également l'élimination des facteurs inconnus qui pourraient apparaître si nous ne faisions que remplacer directement les pneus habituels."

La première manche du championnat aura lieu en Australie, mais le manufacturier italien préfèrerait débuter ce programme de développement lors de la course suivante, en Malaisie, où les températures sont beaucoup plus chaudes.

"Nos gommes doivent être en mesure de fonctionner dans des températures ambiantes de 10 à 50 degrés Celsius. Nous avons beaucoup à apprendre cette année."

Source: espn f1.

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Au cours d'un entretien sur L'Equipe TV, Jacques Villeneuve s'est montré franc comme toujours dans ses opinions. Le Canadien a évalué quelques aspects de la F1 actuelle.

Au sujet de Sebastian Vettel, Villeneuve s'est déjà posé des questions sur la maturité psychologique du champion du monde en titre. Il a maintenant critiqué la manière dont l'écurie Red Bull Racing enveloppe le jeune Allemand.

"Il est très rapide, mais il vit dans un cocon, surprotégé", a-t-il dit. "S'il fait une grosse bourde, on lui dit que ce n'est pas sa faute. Et il finit par y croire. Il ne peut pas progresser ainsi. Il a déjà démontré qu'il était très rapide, mais pas encore qu'il était un grand champion."

Sur son ancien ennemi juré, l'Allemand Michael Schumacher, le champion de la saison 1997 s'est de nouveau montré analytique : "Il est encore en forme et rapide, mais les attentes le concernant étaient bien trop hautes."

"Tout le monde pensait qu'il allait mettre une seconde à son coéquipier (chez Mercedes), Nico Rosberg. Mais quand il était chez Ferrari, il ne mettait qu'un dixième à Rubens Barrichello, par exemple. Et avec le temps, dans l'esprit des gens, ce dixième est devenu une seconde. L'attente était démesurée, et il ne s'en est pas trop mal sorti. Mais quelle est sa réelle motivation ? L'année dernière il souriait même après un mauvais résultat."

Villeneuve a réservé ses louanges pour Fernando Alonso, vice-champion l'an dernier avec Ferrari : "C'est mon favori. C'est un taureau espagnol, rien ne peut l'arrêter. Il tire toujours le meilleur parti de chaque situation. Il est capable de gagner avec une voiture moyenne, il l'a déjà démontré. Et il arrive à faire progresser une équipe à lui tout seul."

Le volant d'une F1 lui manque

Villeneuve a bien tenté de revenir en Formule 1 cette année, comme pilote au sein d'une structure qui lui aurait appartenu en partie. La FIA ayant rejeté toutes les candidatures pour former la 13e équipe de la F1, il s'est tourné vers l'acquisition d'une écurie existante, sans succès.

Le pilote de 39 ans a décidé de tirer un trait sur un retour dans la catégorie reine qu'il avait jadis dominé. Mais il aurait bien aimé y être : "Le milieu ne me manque pas, mais la compétition oui. Surtout depuis le retour des pneus slicks et depuis qu'il y a moins d'électronique à bord des voitures."

Justement, Villeneuve avait longtemps milité pour un tel environnement en F1. "Quand je pilotais, je me battais pour que le règlement change, et quand il a enfin changé, je n'y étais plus", remarquait-il.

"Mais j'ai eu de très belles années en F1, de très bons souvenirs."

Source: espn f1.

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Les organisateurs du Grand Prix du Brésil n'ont pas été sollicités pour un changement de date qui permettrait éventuellement de reprogrammer le Grand Prix de Bahreïn.

Jeudi, Bernie Ecclestone a suggéré que le Grand Prix de Bahreïn, reporté le 21 février, pourrait prendre place dans le calendrier après celui d'Abou Dhabi mais que, pour éviter les des fatigues excessives, le Grand Prix du Brésil pourrait être repoussé d'une semaine, du 27 novembre au 4 décembre.

Mais cela ne semble pas en prendre le chemin pour le moment. Un porte-parole du Grand Prix organisé à Interlagos a confirmé à Globo Esporte qu'il n'avait pas été consulté pour un éventuel aménagement du calendrier.

Une décision sur le Grand Prix de Bahreïn doit être prise mardi lors de la réunion du Conseil mondial de la FIA à Paris.

Source: espn f1.

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Fernando Alonso répète que son engagement en F1 se fait dans un seul but : gagner le maximum de titres.

"Je ne suis pas là pour me faire des amis", a déclaré le double champion du monde au journal Marca. "Voyons si je gagne assez pour laisser une trace dans l'histoire. Si ce n'est pas le cas, de toutes façons, j'arrêterai très heureux et fier de ce que j'aurai vécu."

À l'approche de sa deuxième saison chez Ferrari, l'Espagnol a loué l'état d'esprit de son équipe : "Je m'attendais à entrer dans une équipe de légende et magique et j'ai été surpris. C'était mieux encore que je ne l'espérais". Par conséquent, il ne pense pas du tout à un départ. "Que je finisse deuxième, huitième ou vingt-troisième, je suis heureux ici", a-t-il dit.

Il a failli signer chez Prost

Ce qui le gêne en F1 ? "Que ce ne soit pas de la pure course automobile. Le F1, c'est aussi beaucoup de business et un carrefour d'intérêts. Les voitures ne sont pas identiques. Les conditions ne sont pas les mêmes pour tous. Nous le savons et l'acceptons tous. C'est peut-être aussi le charme de la F1."

Quand le journal espagnol le questionne sur la pire voiture qu'il ait eu à conduire, Alonso désigne la Renault de 2009. "C'était la pire mais j'ai fait un podium à Singapour. Les meilleures étaient pour lui les Renault de 2004 et 2005.

"Il y avait concurrence au niveau de pneumatiques entre Bridgestone et Michelin, ce qui nous rendait deux secondes plus vite au tour, déjà avec 900 chevaux", se souvient-il. "Même avec une aérodynamique inférieure, à Cheste (Valence) nous tournions en 1'8 contre 1'14 aujourd'hui. Ces voitures étaient vraiment très rapides."

Alonso a aussi révélé que quand sa carrière a commencé avec Minardi, il y a dix ans, il lui a été proposé de rejoindre l'écurie Prost, motorisée par Ferrari. "L'idée était d'aller là-bas et peut-être d'enchaîner sur un poste d'essayeur Ferrari. Mais cela ne garantissait rien. Renault me donnait une meilleure opportunité."

Source: espn f1.

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Ford et Ferrari ont mis un terme à leur contentieux concernant le nom de F150.

Ferrari avait dans un premier temps baptisé sa F1 2011 F150, en hommage aux 150 ans de l'unité italienne que le pays fête cette année. Mais Ford, dont le pick-up star se nomme F-150, avait porté plainte contre la Scuderia.

Dans les heures qui suivaient, Ferrari précisait que le nom officiel de sa voiture était F150th Italia.

Jeudi, le tribunal de Detroit s'est dessaisi de l'affaire. "Nous sommes heureux d'avoir pu résoudre ce conflit à l'amiable", déclarait une porte-parole de Ford au Detroit News. "Cette solution assure une protection au fameux nom F-150 de Ford."

Source: espn f1.

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Mark Webber s'est prononcé contre l'idée d'arroser les circuits artificiellement, question d'ajouter davantage d'imprévisibilité aux courses.

Bernie Ecclestone n'est pas convaincu que l'aileron arrière ajustable aura l'effet voulu pour agrémenter le spectacle. Il y a quelques jours, le grand patron de la F1 a donc proposé d'arroser la piste à intervalles plus ou moins réguliers, ou pendant les dix derniers tours de l'épreuve, parce que "les courses sont totalement différentes lorsqu'il pleut."

Bien que les GP courus sous la pluie soient souvent spectaculaires, l'idée de créer de telles conditions de manière artificielle à été accueillie avec surprise. Le pneumaticien Pirelli est à l'origine de cette suggestion et certains ont appuyé le concept, mais vous avez été nombreux à dénoncer cette idée sur notre page Facebook.

Webber se joint à la majorité d'entre vous en affirmant qu'un scénario de pluie artificielle ne serait rien de moins qu'une insulte à la catégorie reine et à son histoire.

"Bien sûr, cela peut devenir plus excitant lorsque les conditions météo sont changeantes", a dit le pilote Red Bull à la BBC. "Mais il suffit de penser à Jimmy Clark, Jackie Stewart et Ayrton Senna qui étaient des maîtres sous la pluie. Jackie est toujours parmi nous, mais les deux autres doivent se retourner dans leurs tombes à l'idée de voir un système d'arrosage en bordure de piste."

"Ce ne serait pas la plus sophistiquée des méthodes pour améliorer le spectacle", a-t-il ajouté.

Ecclestone en remet

La veille, sur les ondes de cette même station, Ecclestone a élaboré sur son projet : "L'idée, ce serait de faire en sorte que personne ne sache vraiment ce qui va arriver. (L'arrosage) débuterait à tout moment pendant la course. Ce serait comme de la pluie. Cela pourrait cesser et peut-être reprendre plus tard, ou peut-être pas. Personne ne le saurait à l'avance."

On imagine déjà le tollé que provoquerait une telle manipulation de la course, même si cela s'appliquerait à tous les pilotes en piste. Mais pour le moment, Ecclestone défend son idée.

Source: espn f1.

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Si nécessaire, le HRT attendra la veille du premier Grand Prix de la saison, à Melbourne, pour choisir celui qui sera le coéquipier de Narain Karthikeyan.

"L'annonce sera faite dans les prochaines semaines", a déclaré un porte-parole de l'équipe à 422race.com, or la première séance d'essais libres est prévue le 25 mars en Australie.

Liuzzi trop pauvre ?

Tonio Liuzzi et Giorgio Mondini ont été testés à Jerez mais aucune décision n'a encore été prise. "Les essais ne nous posent pas de problème", a ajouté le porte-parole. "Comme chacun sait, les temps au tour ne sont pas le plus important."

Le problème serait plutôt de trouver un pilote amenant un budget conséquent, or il semble que ce ne soit pas le cas de Liuzzi.

Source: espn f1

Le patron du team Mercedes Ross Brawn annonce que les nouveautés qui seront montées sur la W02 la semaine prochaine à Barcelone devront faire gagner à l'équipe près d'une seconde pour rejoindre les top teams.

"Lors des derniers essais que nous avons effectués à Barcelone, nous avons roulé léger et avec des pneus très tendres et on était les deuxièmes plus rapides mais je ne pense pas que cela reflète notre vraie place", a déclaré Brawn à la BBC.

"Je pense que nous sommes à une seconde des temps que nous devrions faire si nous voulons nous mêler à la lutte pour les premières places. Dans les nouvelles choses que nous allons essayer, il va nous falloir trouver cette seconde. On peut le faire mais on ne sait jamais ce que les autres font en même temps. Tout le monde aura des petites innovations à Barcelone."

Rendez-vous à Melbourne

"Si quelqu'un arrive avec quelque chose de radical auquel personne n'a pensé auparavant, cela peut changer la donne. Mais nous avons établi nos plans et nous verrons où nous en sommes à Melbourne. C'est amusant de faire des hypothèses en ce moment, mais il est très difficile de deviner juste."

Même s'il est en retrait, le dirigeant qui mena son équipe au doublé en 2009 garde espoir. "Vous verrez des choses différentes à Barcelone", prévient-il. "Nous sommes confiants et calmes. On pense que notre stratégie est la bonne. On l'évaluera après la première course."

Source: espn f1.

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Maintenant, Sebastian Vettel affirme qu'il plaisantait lorsqu'il affirmait qu'il rêvait de piloter un jour pour Ferrari.

Le champion du monde a fait les gros titres de la presse internationale lorsqu'il a dit qu'il voulait payer des vacances à Fernando Alonso si l'Espagnol pouvait lui prêter sa voiture pendant un an.

Mais lorsqu'on lui a demandé de s'expliquer sur ces commentaires il a expliqué qu'on lui avait demandé "ce que je ferais si je ne pouvais pas continuer de piloter pour Red Bull". "Alors j'ai dit que je voulais envoyer Felipe ou Fernando en vacances pour qu'ils me laissent leur voiture."

La Red Bull est la plus performante

"J'ai dit cela parce que je sais que Ferrari aura une voiture très forte cette saison. Ce serait certainement mon premier choix. Mais il est probable que tout le monde n'ait pas bien compris mon sens de l'humour."

Le pilote de 23 ans estime que le plus important de tous les facteurs pour un pilote de top niveau c'est d'avoir la Formule 1 la plus performante. "En ce moment, je me sens très bien avec la Red Bull", a-t-il dit. "C'est sûr que Ferrari et Mercedes sont des marques qui ont une grande tradition et qui pourraient être très stimulantes mais les performances de la voiture doivent toujours primer."

Vettel est en contrat avec Red Bull jusqu'à la fin de la saison 2011. Son écurie aimerait le faire prolonger jusqu'en 2015. Et ça, ce n'est pas une blague.

Source: espn f1.

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Pedro de la Rosa se cherche toujours un cockpit en Formule 1, mais non seulement pour cette année. Il a encore des choses à accomplir dans la catégorie reine.

"Comme pilote, mes attentes sont de demeurer en F1 pour trois autres années. Ce serait une réussite pour moi", déclare-t-il sur son site internet. "Ensuite j'aimerais me dédier à d'autres catégories. Dans la série Le Mans par exemple, avec une bonne voiture."

Il ne reste qu'un seul volant disponible au sein du plateau F1. Mais il se trouve chez HRT, une écurie qui demande à ses pilotes d'apporter un budget. De la Rosa ayant déjà rejeté cette possibilité, les options qui s'offrent toujours à lui seraient un poste de réserviste avec une autre équipe ou celui d'essayeur pour le manufacturier de pneus Pirelli. Ce dernier serait d'ailleurs ravi de l'avoir à bord de nouveau.

Il n'aura probablement pas de volant titulaire en 2011, mais de la Rosa espère redevenir un pilote de Grand Prix à l'avenir.

"Tout dépendra de ma forme physique", explique celui qui a 40 ans depuis quelques jours. "Actuellement, je suis très fort. Probablement plus qu'à 20 ans. Mais le jour viendra où cela ne sera plus le cas. Le moment de retirer mon casque aura sonné. Mais ce moment n'est pas encore arrivé."

Contact avec Lotus Renault

De la Rosa confirme qu'il a été approché par Lotus Renault GP, qui souhaitait le compter parmi les candidats aptes à remplacer Robert Kubica pendant sa convalescence. L'équipe était intéressée par le savoir technique qu'il a développé comme pilote d'essais chez McLaren de 2003 à 2009, en plus des 14 courses complétées avec Sauber en 2010 et son expérience des pneus Pirelli.

"Lorsqu'ils m'ont appelé, j'ai dit à Renault que j'ai l'expérience, que je suis rapide, et que je n'aurai pas besoin de boucler 200 tours avant de savoir ce qu'il faut faire pour que la voiture devienne compétitive." Mais de la Rosa, comme les autres candidats, n'a pas eu l'occasion de le démontrer puisque Nick Heidfeld a vite obtenu le poste convoité.

Puisque Pirelli envisage d'emprunter une voiture à chaque équipe cette année, cette option pourrait être la meilleure en prévision de 2012.

Source: espn f1.

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Toutes les équipes du plateau (ou presque) ont maintenant confirmé les dates auxquelles elles seront présentes lors des essais pré-saison Barcelone II.

La dernière période de tests devait avoir lieu à Bahreïn du 3 au 6 mars, mais l'instabilité politique dans la région a fait en sorte que les écuries préféraient rouler ailleurs que sur le circuit de Sakhir. C'est donc à Barcelone, pour une deuxième fois, que la F1 se réunira pour compléter les quatre dernières journées d'essais sur les 15 allouées.

Cependant, le Circuit de Catalunya accueillera la catégorie reine sur une période de cinq jours. La majorité des écuries débuteront le 8 mars, mais trois d'entre elles ont décidé de décaler leur programme de 24 heures.

8 au 11 mars (mardi-vendredi)
Force India
HRT*
McLaren
Red Bull Racing
Renault
Sauber
Team Lotus
Toro Rosso
Virgin Racing

9 au 12 mars (mercredi-samedi)
Ferrari
Mercedes
Williams

*Il est possible que HRT, qui dévoilera sa F111 à Barcelone, choisisse de démarrer son programme le mercredi et non le mardi.

Source: espn f1.

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La saga portant sur la dénomination de la nouvelle monoplace Ferrari semblait terminé, mais un petit épilogue demeurait.

Le manufacturier automobile Ford, dont le pick-up F-150 est pratiquement une icône en Amérique du Nord, avait porté plainte contre Ferrari qui, en l'honneur du 150e anniversaire de l'unification italienne, avait donné le nom F150 à son bolide.

Suite au dépôt des procédures devant un tribunal de Détroit en février, l'équipe de Maranello avait vite réagi en modifiant le nom de sa monoplace, qui devenait la F150th Italia. Mais la compagnie Ford n'était toujours pas satisfaite. Le spectre d'une injonction lors du Grand Prix du Canada a été soulevé.

Jeudi, Ford confirmait que les deux parties s'étaient entendues à l'amiable. Fin de l'histoire croyait-on, mais par l'entremise de son éditorial quelque peu sarcastique Le Cheval chuchotant, Ferrari annonce une ultime modification au nom de sa monoplace.

Sarcasme, quand tu nous tiens

"Dans le but d'éviter le moindre risque de confusion entre une Formule 1 et un pick-up, les hommes de Maranello ont décidé que leur voiture devait perdre le F qui signifie Ferrari et qui précède le nombre 150", peut-on lire. "En plus de perdre le F, le nom sera complètement italianisé. Le 'th' anglais est remplacé par le symbole équivalent italien."

"Par conséquent, le nom sera dorénavant Ferrari 150° Italia, ce qui devrait faire en sorte que même la plus bête des personnes comprendra que ce nom est un hommage à l'unification de notre pays."

"Espérons maintenant que ce sujet est définitivement clos et que nous pourrons nous concentrer sur des choses plus sérieuses. Notamment, s'assurer que notre voiture, qui semble déjà plutôt bonne, devienne une véritable gagnante."

Ferrari se réjouit également que ce "scénario kafkaïen" impliquant Ford soit réglé une fois pour toutes : "Le bon sens a prévalu."

Source: espn f1.

L'une des ''particularités'' du premier Grand Prix de Corée, en 2010, fut les conditions d'hébergements des équipes, disons, très spéciales. Les hôtels de passe seront à nouveau mis à contribution en 2011.

Joo Dong-sik, le nouveau patron de l'organisation, a admis qu'il n'y aurait aucun changement à attendre en vue de l'édition 2011 en ce qui concerne les lieux d'hébergement. L'annonce a été faite à l'issue d'une réunion qui s'est tenue cette semaine.

Des billets moins chers

"Actuellement, nous n'avons pas d'autre option qu'utiliser les installations actuelles et en améliorer la qualité", a déclaré Dong-sik.

"Mais nous avons le sentiment que ces améliorations, telles que l'Internet gratuit et la télévision par câble, satisferont nos visiteurs."

Les billets devraient par ailleurs être moins onéreux cette année, permettant à davantage de public de venir au circuit. Le Grand Prix de Corée est prévu pour le 16 octobre.

Source: espn f1.

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En Tavo Hellmund, promoteur du Grand Prix des États-Unis, Bernie Ecclestone s'est trouvé un autre allié pour soutenir son idée de pluie artificielle lors des courses.

Le président de FOM est d'avis qu'arroser les circuits à intervalles irréguliers serait une façon intéressante de rendre les épreuves plus spectaculaires. La suggestion lui a été faite par le manufacturier de pneus Pirelli. Ecclestone a adopté le concept et tente de persuader la communauté F1 des bienfaits.

Il est peu surprenant de constater que la majorité des opinions est négative à l'endroit d'un tel stratagème. Le pilote Red Bull Mark Webber a même laissé entendre qu'imposer la pluie artificielle serait une insulte envers la Formule 1.

Mais au Texas, où la construction du circuit d'Austin bat son plein, Hellmund s'est dit prêt à intégrer un système d'arrosage en bordure de piste. Ce serait d'ailleurs chose facile puisque le chantier en est encore à ses débuts.

"Le véritable talent brille toujours sous la pluie", souligne Hellmund. "Les petites équipes devraient s'en réjouir car la pluie, c'est l'ultime niveleur. Elle élimine les différences dans les budgets et permet au talent pur de faire son œuvre."

Le journal local American Statesman indique toutefois qu'un recours à des effets artificiels ne serait peut-être pas nécessaire.

Bien que la date officielle du GP des États-Unis 2012 n'a pas encore été déterminée, il est possible que la course soit jumelée à la manche canadienne du championnat, à Montréal en juin. Et à cette période de l'année, les cieux au-dessus d'Austin sont souvent pluvieux.

Source: espn f1.

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Lewis Hamilton est d'avis que les pneus Pirelli ont ralenti le plateau F1, mais le championnat 2011 s'annonce toujours très compétitif.

"Les voitures sont plus lentes sur la durée d'une course", révèle le pilote McLaren, tel que rapporté par le Guardian. "L'an dernier, nous devions faire durer les pneus avec une charge en carburant plus lourde. Maintenant, c'est encore plus lent."

A quelques jours de la dernière période d'essais pré-saison, voilà le verdict du Britannique. Les tests effectués à Barcelone, il y a deux semaines, ont permis à Hamilton de confirmer une fois de plus que la gestion des gommes fournies par Pirelli sera tout un défi.

"J'ai complété un relais et c'était vraiment très lent. Pas très excitant, pour être honnête", remarque Hamilton, bien que le terme 'lent' soit évidemment très relatif. "Je ne pensais pas avoir poussé trop fort, mais les pneus étaient ruinés après neuf tours. Usés jusqu'à la corde."

"J'ai été plus doux lors du run suivant", ajoute-t-il. "J'ai pu me rendre jusqu'à 15 ou 16 tours sur la gomme tendre."

Il y aura de l'action

Pirelli veut assurer le spectacle en produisant des gommes à courte durée de vie ; l'objectif semble en bonne voie d'être atteint. Si les pilotes s'en plaignent un peu, les fans pourraient s'en réjouir. Pour Hamilton, cela fait partie du jeu qu'il aime.

"Avec les années, il faut savoir modifier son style et s'adapter tout en conservant le plus important, soit la vitesse et l'agressivité", explique le pilote de 26 ans. "Maintenant, le plus gros défi sera de surveiller l'usure des pneus."

En effet, Fernando Alonso a déjà déclaré que les gommes feront mal et qu'il "n'aime pas trop" cette incertitude. Sebastian Vettel a prédit "des courses de trois ou quatre arrêts."

Et bien que Hamilton ressente une certaine perte de vitesse sur la piste, il s'attend à vivre une autre grande saison de Formule 1 : "Vous allez voir, ce sera aussi compétitif cette année sinon plus. Les règlements (techniques) rapprochent les équipes et font en sorte que c'est plus compétitif, même si ce n'est pas aussi pur et dur."

"En 2007 et 2008, les équipes étaient si rapides qu'elles se poussaient l'une et l'autre très fort à l'avant. Maintenant les voitures ont un peu ralenti, alors le plateau est un peu plus nivelé."

Source: espn f1.

Une pluie artificielle pourquoi pas

Engagé dans le championnat de monoplace américain depuis 22 ans, Firestone, une marque de Bridgestone, mettra un terme à son contrat le 31 décembre 2011.

Le géant japonais se retirera alors un an après l'avoir fait en F1, laissant la place à Pirelli. Randy Bernard, le patron de l'IndyCar, a tenté de conserver Firestone, dont la rumeur du départ courait depuis quelque temps. Sans succès.

"Il faut s'activer"

Goodyear, Pirelli, Continental, Hoosier & Cooper sont entre autres les possibles remplacements en vue de l'année prochaine. "Il faut s'activer sur cela", a déclaré Randy Bernad.

Un nouveau châssis sera lancé l'année prochaine en IndyCar Series. "Ce n'est jamais le bon moment pour partir", a déclaré le responsable du programme Firestone Al Speyer. "Mais nous avons atteint tous les objectifs que nous nous étions fixé en IndyCar et nous sommes même allés au-delà."

Source: espn f1.

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Jenson Button rejoint le camp, contenant de nombreux pilotes actuels, de ceux qui se refusent à enterrer Michael Schumacher, alors que Bernie Eccelstone verrait bien Red Bull conserver ses titres.

Questionné par le Sunday Express sur l'hypothèse selon laquelle le Kaiser aurait perdu sa vitesse, l'Anglais n'y croit pas un instant.

"Je ne partage pas du tout cet avis", a-t-il dit. "Je pense qu'il n'est pas bien servi avec sa voiture, c'est tout."

Button était le prédécesseur de Schumacher dans l'équipe de Ross Brawn et pour lui, l'âge n'est pas un problème. "Regardez la NASCAR, des pilotes de 50 ans sont encore compétitifs", lance-t-il. Schumacher va-t-il prolonger son contrat pour huit ans ?

La méthode Bernie

Si oui, il devrait encore avoir à se battre contre son compatriote et ami Sebastian Vettel. Le champion du monde et son équipe Red Bull sont les favoris de Bernie Ecclestone lors de cette saison qui commencera à Melbourne, le 27 mars.

"On dirait que Red Bull a de nouveau la meilleure voiture", a déclaré le président de la FOM. "Les autres vont devoir combler l'écart avant la première course. Quand on lui demande lequel des deux pilotes, Mark Webber ou Vettel, il voit le mieux placé, l'octogénaire n'hésite pas. "Très clairement, ce sera Sebastian", dit-il.

Sur Robert Kubica, Mister E a aussi une impression très tranchée et il n'aurait pas géré la situation de la même manière que Renault l'a fait. "Je lui aurais dit : 'Écoute, puisque tu vas faire du rallye, il se peut que tu sois trop fatigué pour enchaîner avec les essais alors notre pilote d'essais va te remplacer'. Est-ce que vous pensez qu'il aurait couru en rallye ? Je ne crois pas."

Source: espn f1.

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Les pilotes Toro Rosso Sébastien Buemi et Jaime Alguersuari affirment qu'ils ne ressentent pas de pression supplémentaire du fait de la nomination de Daniel Ricciardo comme pilote de réserve en piste lors des essais libres du vendredi.

"Je pense qu'il est très important pour nous que Daniel soit dans la voiture car il y a beaucoup de choses qui sont nouvelles cette année", a déclaré Alguersuari à Autosport. "Daniel est rapide et il représente un avis supplémentaire sur la voiture. C'est bien aussi pour lui de piloter une F1 et d'apprendre les circuits. Il est un membre important de l'équipe."

"Au final, la pression, c'est toujours la vôtre, celle que vous vous mettez. Ce n'est jamais les autres. Ce n'est pas négatif mais positif. Rester sur les bords du circuit le vendredi matin ne me dérange pas", ajoute-t-il.

"Il est assez difficile
de changer les pilotes sans cesse"

Buemi partage cet avis. "Ne pas rouler le vendredi matin un Grand Prix sur deux... Il faut être honnête, on n'en fait pas lourd", estime le Suisse. "Le circuit n'est pas propre et on va avoir une sorte de comparaison. Daniel a été vraiment vite dans la Red Bull et, maintenant, on va le voir dans la Toro Rosso."

Derrière ces discours policés, il y a indéniablement la volonté, de la part de Helmut Marko, le responsable de la détection de Red Bull/Toro Rosso, de tester le jeune Australien en vue d'une place de titulaire. Quand ? "2012 au plus tard", a répondu Marko récemment. Mais un remaniement en cours de saison n'est pas à écarter. C'est une spécialité maison.

Scott Speed a ainsi été remplacé par Sebastian Vettel en 2007 et Alguersuari a pris le relais de Sébastien Bourdais en 2009.

Buemi, qui fait sa troisième saison chez Toro Rosso, dit, à sa façon, qu'il n'a rien à craindre : "Il est assez difficile de changer les pilotes sans cesse. Vous n'avez aucune intention de passer deux ans avec un pilote qui n'avance pas".

Source: espn f1.

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Le patron de l'écurie McLaren Martin Whitmarsh évoque la construction de moteurs de Formule 1.

L'équipe de Woking s'est muée en motoriste pour fabriquer le groupe propulseur de 3,8 l (V8) de sa MP4-12C qui courra en GT et cela pourrait avoir donné des idées à l'équipe qui utilise aujourd'hui le V8 Mercedes en F1.

"Nous n'écartons rien parce que nous sommes une équipe ambitieuse", a déclaré Whitmarsh à Motor Sport. "La Formule 1 est le troisième événement sportif le plus populaire au monde et c'est une plate-forme idéale si une marque veut faire la différence."

L'arrivée de nouveaux règlements sur les moteurs pour 2013 pourrait être l'occasion idéale pour McLaren de se lancer même si Whitmarsh n'est pas un inconditionnel du petit moteur à 4 cylindres qui sera obligatoire dans deux ans : "Si cela n'attire par de nouveaux constructeurs, alors l'objectif n'aura pas été atteint".

Source: espn f1.

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Le différend impliquant Force India, Aerolab et Team Lotus sera porté devant la Haute Cour de Londres, le 16 janvier 2012.

Force India est le premier plaignant et affirme que la société Aerolab de Jean-Claude Migeot, qui fut l'un de ses prestataires de services, a livré ses secrets de fabrication à Lotus avec qui Aerolab a travaillé par la suite.

Le directeur technique de Lotus, Mike Gascoyne, a réfuté avoir commis la moindre erreur alors qu'Aerolab a à son tour porté plainte contre Force India pour des retards de paiement.

Source: espn f1.

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La Croatie s'apprêterait à déposer sa candidature pour accueillir une course de Formule 1.

Le journal local Vercenji List affirme que le projet qui doit sortir de terre en périphérie de la ville de Zagreb a le soutien de la FIA, de Bernie Ecclestone et de son architecte préféré Hermann Tilke.

Pas moins de 250 M€, amenés à 100% par le privé, sont sur le point d'être investis et la construction d'un nouveau circuit devrait prendre 18 mois. Le gouvernement croate jouerait pour ce faire un rôle de facilitateur administratif.

La Croatie n'est pas membre de l'Union européenne et, comme Bahreïn, où la première course de la saison à été reportée, des troubles sociaux agitent le pays avec des manifestations anti-gouvernementales.

Source: espn f1.

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Les pilotes AirAsia en GP2 Davide Valsecchi et Luiz Razia se relaieront dans la Lotus T128, mardi, alors que débuteront les derniers essais de pré-saison, sur le circuit Catalunya, près de Barcelone.

Les deux hommes se partageront la voiture le matin avant de la remettre à Jarno Trulli, l'un des deux titulaires, pour la séance de l'après-midi.

Razia était le pilote d'essais officiel de l'équipe Virgin Racing la saison dernière. Il était aux commandes de la VR-01 lors des essais réservés aux jeunes, à Abou Dhabi fin 2010. Valsecchi faisait, à cette occasion, ses premiers tours de roues en F1 avec Hispania.

Avec Hülk, sans Glock

Force India sera l'autre équipe qui fera rouler un pilote non titulaire en mettant en piste son réserviste Nico Hülkenberg mardi matin. L'Allemand a conduit pour Force India à Valence mais ce n'était pas la voiture 2011.

La plupart des autres équipes confiera sa voiture à ses deux pilotes titulaires. Chez Marussia Virgin, Timo Glock se remettant d'une appendicite, Jérôme D'Ambrosio sera seul en piste.

Source: espn f1.

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Martin Whitmarsh, le patron de l'écurie McLaren, est d'avis que certains tracés modernes n'exploitent pas leur plein potentiel. Il parle d'opportunités manquées.

Jackie Stewart a récemment opiné qu'il suffisait de modifier certains secteurs des nouveaux circuits pour améliorer le spectacle, soit une solution peu onéreuse sur le long terme. Le triple champion a souligné le dénominateur commun des derniers circuits de la F1 : Hermann Tilke.

L'architecte allemand s'est jadis défendu en expliquant qu'il devait dessiner des tracés respectant le budget octroyé par les promoteurs. Si cela était vrai pour certains chantiers confinés, Whitmarsh rappelle que cela n'a pas toujours été le cas.

"Vous n'avez qu'à penser à des circuits d'aéroport comme celui de Cleveland (aux États-Unis)", dit-il à Motor Sport. "Les virages sont larges et on y trouve plus d'une trajectoire. Vous voyez à quel point ce serait très facile à réaliser."

L'exemple d'Abou Dhabi

Whitmarsh a fait la comparaison entre le circuit ultra-moderne de Yas Marina, inauguré à Abou Dhabi en 2009, et celui moins développé d'Interlagos qui figure sur le calendrier F1 depuis de nombreuses années.

"Si vous avez une des plus longues lignes droites de la Formule 1 et qu'elle s'enchaîne sur une chicane où il n'y a qu'une seule trajectoire possible, vous pourriez parler d'une opportunité manquée", explique le Britannique en référence au circuit d'Abou Dhabi. Il louange ensuite celui du Brésil : "Les infrastructures laissent à désirer mais les courses sont fantastiques."

"Alors si vous partez de zéro dans le désert, sans limite structurelle ou financière apparente, c'est dommage de ne pas simplement copier quelques-uns des meilleurs virages au monde."

Source: espn f1.

Bien que la nouvelle Mercedes W02 n'ait pas particulièrement brillé lors des essais pré-saison, Nick Fry affirme que le programme avance comme prévu. Explications à l'appui.

En 2010, l'écurie de la marque à l'étoile, alors championne en titre vu ses grands succès de l'année précédente sous la bannière Brawn GP, n'a compté qu'une poignée de podiums. Cette année, au cours des trois premières périodes d'essais, Mercedes ne s'est pas souvent montrée aussi véloce que ses rivales directes.

L'équipe aurait une seconde de retard à combler. De quoi inquiéter les titulaires Nico Rosberg et Michael Schumacher, qui espèrent viser des victoires en 2011 ? Pas du tout, affirme Fry.

"D'après ce que nous avons vu sur la piste, les performances ne sont pas aussi bonnes que nous aurions souhaité", avoue-t-il à l'agence Reuters. "Mais deux raisons importantes expliquent cela."

Les raisons

"Premièrement, notre voiture a connu des problèmes de surchauffe, en plus d'avoir été équipée d'un système de refroidissement et d'une configuration aérodynamique très basiques. Cela affecte beaucoup les chronos."

"Deuxièmement, nous avons adopté une stratégie un peu différente (pour les essais) puisque nous avons utilisé ce que nous considérons être une version 'de base' de la voiture. Nous aurons un nouvel ensemble très significatif pour la première course."

"Alors nous savions d'avance que nous ne serions pas les plus rapides", continue Fry. "Il n'y a pas de panique. Nous avons un plan, nous le respectons, et je crois que nous serons en bonne forme en Australie."

Un petit extra

Le dirigeant de Mercedes reconnaît que le report du Grand Prix de Bahreïn, qui eut comme effet de repousser le début du championnat de deux semaines, permet à Mercedes de consacrer plus de temps à son programme de développement. Mais il relativise la situation.

"La vérité, c'est ce que ce temps d'extra a aidé tout le monde", dit-il. "Ce serait mensonger de prétendre que cela n'a pas aidé. Ce fut le cas pour nous, et je soupçonne que ce fut également le cas pour plusieurs autres équipes."

Ross Brawn, le patron de l'écurie germanique, a révélé qu'un nouveau système d'échappement sera intégré à la flèche d'argent cette semaine lors des essais de Barcelone II : "A ce jour, je n'ai rien vu de similaire chez les autres."

Source: espn f1.

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Mardi marque le début des dernières journées d'essais de pré-saison. Elles se dérouleront à Barcelone du 8 au 12 mars, en remplacement des essais de Bahreïn (3-6 mars) annulés suite au soulèvement populaire.

Toutes les écuries seront en piste, dont HRT qui devrait présenter sa nouvelle monoplace. Cependant, l'équipe espagnole est la seule à ne pas avoir confirmé quels pilotes seront de service, bien que le titulaire Narain Karthikeyan devrait logiquement être de la partie. Mais on dit que Tonio Liuzzi pourrait bientôt le rejoindre.

Lors des essais précédents, Barcelone I (18 au 21 février), Felipe Massa s'était montré le plus rapide au volant de la Ferrari 150° Italia, devant la Mercedes W02 de Nico Rosberg et la Red Bull RB7 du champion en titre Sebastian Vettel. Comme toujours, chaque équipe ayant son propre programme, il est difficile de cerner les véritables forces en présence.

Mais les essais de Barcelone II permettront peut-être de déceler quelques tendances, puisque plusieurs écuries en profiteront pour peaufiner leurs réglages de course et de qualifications avant d'attaquer le Grand Prix d'Australie (25-27 mars).

À noter, chaque équipe a encore droit à quatre jours de piste, mais certaines d'entre elles ont choisi de débuter leur programme mercedi et non mardi. Pour cette raison, la séance d'essais s'échelonnera sur cinq jours au total.

McLaren est la seule équipe à scinder son programme en deux : mardi-mercredi et vendredi-samedi.

Programme de Barcelone II

Source: espn f1.

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HRT est en train de travailler dur pour pouvoir présenter sa F111 lors des essais de Barcelone, cette semaine, et officialiser le nom de son deuxième pilote.

"La voiture est dans sa dernière phase d'assemblage", croit savoir la presse espagnole alors que l'équipe indique qu'elle débutera à Barcelone "dès qu'elle sera prête".

Le châssis de la F111 sera basé sur celui de la F110 après que HRT a été éconduit par Toyota, structure avec laquelle HRT comptait collaborer. En outre, plusieurs membres clé du personnel ont quitté l'écurie comme Xevi Pujolar, qui est reparti chez Williams, et quatre autres employés, dont le chef mécanicien Enrique Colomina qui a rejoint l'ancien patron de l'écurie, Adrian Campos.

Un nouveau patron du marketing, Maria Serrat, est en revanche arrivé de l'équipe Epsilon Euskadi, de même que l'ingénieur Albert Fabrega.

Côté pilotes, l'écurie la plus pauvre du plateau semble devoir pencher pour Vitantonio Liuzzi, pour rejoindre Narain Karthikeyan. Peut-être cette semaine.

Source: espn f1.

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McLaren, qui est présente mardi pour le début des derniers essais de pré-saison à Barcelone, aurait décidé de modifier ses plans au dernier moment, en ne roulant pas jeudi.

Les essais de Barcelone s'étalent sur cinq jours mais seules quatre journées de roulage sont permises. La majorité des équipes semble devoir se tenir au plan initialement prévu, de rouler d'aujourd'hui à vendredi, alors que Ferrari, Mercedes et Williams ont opté pour la période mercredi-samedi.

McLaren, cependant, devrait choisir un autre emploi du temps et scinder ses essais en deux mardi-mercredi et vendredi-samedi ce qui doit permettre à l'équipe de faire venir de nouvelles pièces si besoin.

Jenson Button est en piste aujourd'hui et vendredi. Lewis Hamilton le relaiera mercredi et samedi.

Source: espn f1

Les derniers essais privés de l'intersaison ont débuté mardi matin à Barcelone où sept écuries étaient en piste.

Sur la Red Bull, Mark Webber a réussi le meilleur temps mais ce n'est pas lui qui a le plus tourné. Sergio Pérez (54 tours) et Davide Valsecchi, le réserviste Lotus, qui n'a finalement pas partagé la T128 avec Luiz Razia (50 tours), ont été les plus assidus.

Webber laisse Nick Heidfeld à plus de 2" et il a déjà signé un temps plus rapide que Felipe Massa, auteur du meilleur chrono de Barcelone I.

McLaren a débuté avec un museau en forme de bulbe très particulier. Selon l'hypothèse la plus probable, cet appendice très inhabituel serait un outil servant à mesurer la flexibilité de l'aileron avant, un domaine dans lequel McLaren a été surclassé la saison dernière, notamment pas Red Bull et Ferrari.

"C'est un dispositif temporaire", a confirmé l'écurie. "Il est destiné à faire des mesures dans le cadre d'un développement à long terme."

Cet après-midi, Razia remplace Valsecchi et Petrov s'est installé dans la Renault en remplacement de Heidfeld, atteint par une grippe.

Les temps
1 Mark Webber, Red Bull, 1'22"544
2 Nick Heidfeld, Renault, 1'24"735, à 2"191
3 Davide Valsecchi, Lotus, 1'25"406, à 2"862
4 Sergio Pérez, Sauber, 1'25"443, à 2"899
5 Nico Hülkenberg, Force India, 1'26"030, à 3"486
6 Jenson Button, McLaren, 1'28"971, à 6"427
7 Jérôme D'Ambrosio, Virgin, 1'33"502, à 10"958

Source: espn f1.

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Le propriétaire du team Red Bull Dietrich Mateschitz affirme qu'il n'empêcherait pas son champion du monde Sebastian Vettel de partir s'il le souhaitait.

"Avoir 'peur' de le perdre, ce n'est pas la terminologie que j'emploierais", a déclaré Mateschitz à l'agence SID. "Tant que Sebastian se sent bien avec nous et qu'il a une voiture qui lui permet de gagner, il n'aura pas l'idée d'aller voir ailleurs, chez Ferrari ou Mercedes. C'est ce qu'il faut comprendre. Mais il y a des mamans qui ont des plus jolies filles que nous alors nous ne l'empêcherons pas de partir."

Vettel s'est exprimé à plusieurs reprises cet hiver sur la possibilité de rejoindre Ferrari mais dans sa dernière intervention notable, il estimait avoir fait de l'humour.

Webber soutenu

Le fondateur de Red Bull a également réaffirmé que son soutien à Mark Webber, qui s'est plaint à plusieurs reprises, la saison dernière, de ne pas être traité à égalité avec Vettel.

"La personnalité de Mark est très différente mais il est aussi bon que Sebastian", a-t-il dit. "Ce sont deux combattants qui sont excellents et qui peuvent nous gagner la guerre."

Source: espn f1.

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Le Conseil mondial de la FIA s'est donné jusqu'au 1er mai 2011 pour décider si le Grand Prix de Bahreïn aura lieu cette année.

"Le Conseil mondial a demandé à la Fédération de Bahreïn de lui communiquer avant le 1er mai, au plus tard, si le Grand Prix de Bahreïn peut être organisé en 2011", a fait savoir la FIA dans un communiqué à l'issue de la réunion du Conseil mondial, qui s'est tenue à Paris, mardi.

L'hypothèse la plus vraisemblable pour la tenue du Grand Prix semble être la fin de la saison, si toutefois les troubles sociaux, qui continuent d'agiter le pays, venaient à s'apaiser. Un report au mois d'août a également été envisagé mais cela est maintenant exclu.

Le gouvernement du petit royaume du Golfe restera toutefois le seul décisionnaire, comme il l'avait été dans le report survenu le 21 février dernier.

Source: espn f1.

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Montezemolo revient sur l'affaire

Luca di Montezemolo a trouvé "étrange" la querelle entre Ford et Ferrari sur le nom de la Ferrari F1.

La Scuderia a modifié à deux reprises le nom de sa monoplace 2011, initialement dénommée F150, après que Ford l'eut menacée d'un procès pour protéger le nom de son pick-up, le F-150.

"Il s'agit de quelque chose qui se réfère aux 150 ans de l'unité italienne. Cela n'a pas de valeur commerciale et ce n'est en relation qu'avec la F1", s'est étonné Montezemolo auprès de l'agence ANSA.

"Mais nous avons été si troublés par cela que nous avons décidé d'exclure tout risque", a-t-il ajouté, ne comprenant manifestement pas l'attitude de Ford.

De F150, la monoplace a adopté le nom F150th Italia lorsque Ford a déposé ses procédures. Après une entente à l'amiable, elle est définitivement devenue la 150° Italia et perdait ainsi son traditionnel F, symbole de Ferrari.

Source: espn f1.

La FIA a annoncé qu'elle entend étudier le tracé des circuits de la F1 pour voir si des ajustements pourraient favoriser les dépassements.

Mardi, suite à la réunion du Conseil mondial du sport automobile, l'instance gouvernante a fait savoir par communiqué qu'un groupe de travail aura comme tâche d'examiner les circuits où ont lieu les Grands Prix "pour identifier la possibilité d'augmenter les opportunités de dépassement."

Plusieurs personnalités de la Formule 1, dont Jackie Stewart et plus récemment Martin Whitmarsh, ont critiqué les circuits modernes en particulier. Tous deux ont noté qu'il serait bénéfique - et plus simple - de revoir les tracés et non chercher à modifier constamment le règlement technique.

De tels commentaires, en plus de l'engagement de la FIA, surviennent alors qu'il semble de plus en plus apparent que l'aileron arrière ajustable n'aura pas tout l'effet souhaité.

Source: espn f1.

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Le pilote Red Bull Mark Webber a été confirmé au sommet du classement à la conclusion de la première journée d'essais de la semaine à Barcelone.

En signant un tour de 1:22.544, l'Australien a prouvé que ses rivaux avaient de quoi s'inquiéter. Bien qu'il s'agisse d'essais et que les programmes de chaque équipe diffèrent, ce temps bat le meilleur tour bouclé il y a deux semaines sur ce même Circuit de Catalunya lors des essais de Barcelone I.

Webber a réalisé ce temps juste avant la pause du déjeuner, sur un train de pneus neufs, alors que la température de la piste atteignait son maximum de la journée sous un soleil plutôt timide.

Jenson Button a tenté de profiter de conditions similaires en début d'après-midi, mais il s'est retrouvé à trois dixièmes de Webber. Sa McLaren MP4-26 était équipée d'un étrange museau bulbeux qui n'a pas manqué de fasciner les observateurs. L'équipe a confirmé que cet espace servait à loger les appareils mesurant le comportement de l'aileron avant et est (heureusement) temporaire.

Le programme de Renault a été interrompu à quelques reprises par des problèmes de fiabilité. Très grippé, Nick Heidfeld a complété 20 tours en matinée avant d'être remplacé par Vitaly Petrov. Le Russe a inscrit le 3e meilleur temps, à trois centièmes de Button. Heidfeld a complété le top 5 du jour.
Sergio Pérez, au volant de la Sauber C30, a excité le paddock en bouclant un tour deux secondes plus efficace que celui de Webber. Mais le détenteur du meilleur temps provisoire avait coupé une des chicanes. Sa meilleure performance lui mérite plutôt la 4e place.



Des invités chez Lotus

Team Lotus a profité de cette première journée pour prêter le volant de la T128 à Davide Valsecchi et Luiz Razia, les pilotes de son écurie GP2 AirAsia. Valsecchi s'est pointé dans le top 3 en avant-midi avant de perdre le contrôle et frapper les barrières sans causer trop de dommages. Pendant l'après-midi, Razia était à une seconde de son coéquipier mais a dû abandonner ses tentatives lorsqu'un problème mécanique est survenu.

Seulement huit voitures étaient en piste mardi, puisque Ferrari, Mercedes, Williams et HRT ont choisi de débuter leurs programmes de quatre jours mercredi. La nouvelle monoplace HRT devrait être dévoilée mercredi ou jeudi.

La température ambiante était bien en-deça des conditions prévues en Australie, ce qui n'a pas aidé les équipes en piste à mieux comprendre le comportement des pneus Pirelli. Les gommes, difficiles à monter en température, se détérioraient rapidement.

Mercredi, toutes les écuries devraient être en piste à moins que HRT repousse son programme d'une journée.



Source: espn f1.

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Le pilote Renault Nick Heidfeld a fait part de sa frustration en raison de soucis de fiabilité qui ont réduit de manière drastique son temps en piste.

Mardi, pour la première journée d'essais à Barcelone, le remplaçant de Robert Kubica n'a accompli que 20 tours. Victime d'un rhume, il a cédé son siège à son coéquipier Vitaly Petrov.

"Je ne suis pas content", a déclaré Heidfeld. "Vous n'êtes satisfait que quand il n'y a pas de problème or nous en avons eu trop et ils nous ont coûté trop de temps de piste pour essayer de nouveaux systèmes et les nouveaux pneus. Mais d'un autre côté, il semble qu'aucun de ces problèmes puisse rester insoluble avant la première course."

"Nous avons déjà eu de nouvelles pièces sur la voiture aujourd'hui", a-t-il continué. "Un nouveau fond plat et un nouvel aileron arrière et ils réagissent comme nous l'avions prédit."

Au repos

Comme beaucoup dans le paddock, Heidfeld se méfie de Red Bull, qui a réussi le meilleur temps de la journée. "Je n'en suis pas du tout surpris", note le pilote allemand. "Et encore, je ne pense pas qu'ils nous sortent tous leurs atouts. Si vous regardez les temps par secteurs, vous verrez qu'ils en ont encore sous la pédale. Ils sont devant. Il reste à savoir avec quelle avance."

Heidfeld espère maintenant se débarrasser de son virus pour revenir au volant en fin de semaine. "Ce n'est rien. Je pensais m'en être débarrassé mais je ne suis pas bien dans la voiture. Comme nous sommes là pour quatre jours, autant que je me repose un peu."

Source: espn f1.

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Lors du premier Grand Prix de la saison, en Australie, Jenson Button ne s'attend pas à voir sa McLaren au même niveau que les monoplaces Red Bull et Ferrari.

Le champion du monde 2009 a bouclé 74 tours à Barcelone mardi. La MP4-26, qui a connu des problèmes de fiabilité au début des essais de pré-saison, progresse bien. Mais selon Button, il y a encore du chemin à faire avant de se battre à armes égales avec les ténors.

"Je serai surpris si nous arrivons à suivre le rythme des Red Bull et des Ferrari à Melbourne", a-t-il admis dans le paddock du Circuit de Catalunya. "Ce sera difficile, mais il ne faut jamais dire jamais."

"Il faudra travailler fort pour être aussi rapide que Red Bull, Ferrari, et une ou deux autres équipes", ajoutait Button. "Mais ce n'est que le premier jour d'un test de quatre jours (…) Les tours bouclés avec des niveaux bas et élevés de carburant étaient nettement supérieurs aux derniers essais ici. Ce n'est pas parfait, ce n'est pas idéal pour la première course, mais c'est une amélioration et nous pouvons en être fiers."

Pas un mauvais départ

Pour Button, si McLaren devait se classer à la troisième place dans la hiérarchie des écuries, à la conclusion du GP d'Australie, le 27 mars, ce ne serait pas si terrible.

"On ne pourrait se contenter d'être la 3e meilleure équipe, mais ce ne serait pas une mauvaise façon de débuter la saison. On peut accomplir beaucoup de choses à partir de cette position", remarquait le Britannique. "Nous pourrions être raisonnablement heureux de cela."

Mais comme toujours, les essais hivernaux ne racontent pas toute l'histoire. Les apparences peuvent être trompeuses dans un sens comme dans l'autre, malgré certaines tendances.

"Je n'ai aucune idée sur qui se trouve au sommet", a dit Button. "Ferrari et Red Bull sont constamment bons. C'est difficile à dire sur un tour, mais ces deux voitures ont régulièrement démontré une très bonne constance. Et plusieurs autres voitures ont été rapides lors de différentes journées. Alors c'est vraiment difficile à dire."

Lewis Hamilton sera aux commandes de la McLaren MP4-26 mercredi.

Source: espn f1

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Mark Webber nie catégoriquement que la Red Bull RB7 a été alourdie pour cacher son véritable potentiel.

Pourtant, bien que la monoplace se soit hissée au sommet du classement à quatre reprises depuis le début des essais de pré-saison (dont mardi lors du premier jour de Barcelone II), certains observateurs soupçonnent que Red Bull tente néanmoins de brouiller les cartes.

"Absolument pas", répond Webber. "J'adorerais pouvoir dire que c'est le cas, mais nous n'avons pas assez de temps pour jouer à des jeux entre nous alors encore moins avec les autres."

"Un grand nombre de personnes sont sur des rythmes similaires, ne vous inquiétez pas pour ça", ajoute l'Australien.

Une seule solution

D'après Webber, si les observateurs croient que Red Bull est actuellement au sommet de la hiérarchie, c'est qu'ils pensent trop aux performances réalisées par l'équipe l'an dernier. Les essais hivernaux, contrairement aux courses, ne révèlent pas tout.

"Pour être honnête, je ne crois pas que ces huit dernières semaines aient permis d'accumuler un grand nombre de preuves en ce sens", opine Webber. "Aujourd'hui, tout le monde avait un rythme similaire. De plus, Ferrari n'est pas là et McLaren ne se tourne pas les pouces."

Pour en avoir le cœur net sur les forces en présence, une seule solution : "Il faut courir." Et non seulement pour déterminer sa place dans le peloton, mais aussi pour bien évaluer sa propre écurie.

"Vous en apprenez toujours davantage lors des courses. Sur vos forces et faiblesses comme équipe. Le rythme, la fiabilité, les arrêts aux stands, l'organisation, le samedi et le dimanche."

Source: espn f1

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Le pneumaticien Pirelli souhaitait effectuer des essais lors des vendredis de Grand Prix. Ce vœu a été accordé par la FIA mardi.

Puisque les essais sont interdits pendant la durée du championnat, Pirelli a estimé que les séances d'essais libres du vendredi pourraient très bien servir sa cause. Non seulement toutes les équipes seraient réunies sur un circuit de F1 dans les conditions d'un week-end de course, mais le manufacturier italien pourrait compter sur des monoplaces de l'année en cours. Actuellement, lors de ses propres essais privés, Pirelli utilise une Toyota du championnat 2009.

"Lors de certains événements, une spécification additionnelle de pneu pour le sec sera mise à la disposition de toutes les équipes pour évaluation", a annoncé le Conseil mondial du sport automobile de la FIA. "Les équipes seront informées du type au moins une semaine à l'avance. Chaque pilote se verra attribuer deux trains pour les essais libres 1 et 2 [vendredi]. Ces pneus devront être remis au fournisseur avant le début des essais libres 3 [Samedi]."

De plus, si cela s'avérait nécessaire, les équipes pourront utiliser un train supplémentaire de la gomme 'prime' (soit la plus dure parmi les deux types de gomme fournies lors d'une course), toujours le vendredi et selon les mêmes conditions.

Pirelli s'en réjouit

"Nous devions mettre en place un mécanisme entériné dans le règlement qui nous permettait de tester de nouveaux pneus dans un contexte compétitif, si cela s'avérait nécessaire", explique le directeur de Pirelli Motorsport, Paul Hembery.

"C'est merveilleux d'avoir cette possibilité à notre disposition car nous travaillons déjà très fort sur nos prochains pneus", ajoute-t-il. "Sans cette opportunité, nous ne pourrions tester avec une voiture courante (une fois le championnat démarré). Nous serions entièrement dépendants d'une voiture de génération précédente. Alors il s'agit d'une bonne solution pour nous et pour les équipes."

Hembery souligne que toutes les écuries, ainsi que Pirelli, ont eu peu de temps pour colliger les données et bien comprendre le comportement de la nouvelle gamme de pneus. Sans oublier qu'à ce jour, aucun essai de pré-saison n'a eu lieu dans des températures chaudes et que cela demeure très improbable avant le début du championnat. La permission accordée par la FIA "aidera à accélérer le processus d'apprentissage."

"Nous ne sommes pas encore sûrs de la fréquence à laquelle nous allons profiter de ces opportunités, ni si nous en aurons besoin en fait", remarque-t-il. "Mais il fallait avoir cette possibilité en place avant d'entamer la saison."

Source: espn f1.

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Sebastian Vettel a révélé que son année 2010 a été marquée par une relation compliquée avec Fernando Alonso.

"Nous avons eu quelques problèmes", admet l'Allemand, ce matin, dans La Stampa, le journal italien même s'il a tenu à préciser : "Fernando et moi avons depuis parlé et notre relation est maintenant bonne."

"Deux personnes peuvent avoir des idées différentes mais se respecter", a expliqué le champion du monde.

Lorsqu'on le journal lui demande si Alonso l'a félicité après son titre, Vettel répond d'un mot : "Non".

"Heureux où je suis"

"Rien à Abou Dhabi. À Monte-Carlo (lors du gala de la FIA) il m'a serré la main. C'est normal", pense Vettel. "Si vous gagnez, les autres sont déçus et il leur faut un peu de temps pour digérer. Certains cinq minutes, d'autres deux semaines."

Depuis, Vettel a déclaré, sur le ton de la plaisanterie, qu'il paierait bien un an de vacances à Alonso s'il pouvait lui prendre sa Ferrari. Mais il a rappelé qu'il entendait rester chez Red Bull, au moins dans un avenir proche.

"J'ai un contrat avec Red Bull cette saison et une option pour 2012. Après cela, qui sait ce qu'il peut se passer. Mais à l'heure actuelle, je suis heureux où je suis", a-t-il dit.

Source: espn f1

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Le team HRT espère maintenant faire débuter sa monoplace 2011 vendredi sur la piste de Barcelone.

L'équipe espagnole n'est pas plus en piste ce matin qu'hier, pour les essais de pré-saison de Barcelone II, les derniers de l'année 2011. HRT devait initialement faire débuter sa nouvelle voiture jeudi mais il y a davantage de chances que ces premiers tours de roues interviennent vendredi selon le journal Autosport.

Vitantonio Liuzzi devrait cette occasion être confirmé en tant que deuxième pilote de l'équipe. L'Italien est à Barcelone avec HRT et attend manifestement que la voiture soit prête pour rouler vendredi ou samedi, en alternance avec Narain Karthikeyan.

"Il n'y a pas encore de contrat mais nous sommes à la recherche d'un pilote expérimenté", a déclaré l'Italien à Autosprint.

Source: espn f1

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Tonio Liuzzi est officiellement pilote HRT pour la saison 2011. L'équipe espagnole l'a annoncé à Barcelone mercredi.

Remplacé chez Force India par Paul di Resta, l'Italien s'empare du dernier volant disponible sur la grille 2011 qui se trouve maintenant complète. Il sera le coéquipier de Narain Karthikeyan.

"Je suis vraiment heureux d'avoir signé avec Hispania Racing", a déclaré l'ancien pilote Red Bull. "Je n'ai jamais perdu l'espoir d'être en Formule 1 car je savais que je possède l'expérience et les qualités que demande une équipe jeune et ambitieuse. Un nouveau défi m'attend maintenant et cela me passionne."

La F111 en piste à 13 heures, vendredi

"J'ai aussi beaucoup de travail pour développer la voiture de Hispania Racing. Je suis extrêmement reconnaissant envers José Ramon Carabante et Colin Kolles de me donner une telle opportunité".

Colin Kolles compte sur l'expérience de Liuzzi mais doit faire une croix sur un budget qu'il souhaitait pourtant. "Je connais Tonio depuis de nombreuses années. Il a couru avec moi dans des catégories inférieures. C'est un pilote très professionnel qui va apporter beaucoup à l'équipe. Je suis convaincu de ses compétences pour développer la voiture", a déclaré Kolles.

La HRT F111, la dernière monoplace du plateau qui n'ait pas encore été dévoilée, le sera dans la voie des stands de Barcelone vendredi midi. Et à 13 heures, Liuzzi prendra la piste à son volant.

Source: espn f1.

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Sebastian Vettel a signé le meilleur temps de la journée de mercredi, à Barcelone, où les équipes sont réunies jusqu'à samedi pour les derniers essais de pré-saison 2011.

L'Allemand a accompli plus de 100 tours aujourd'hui. Il a aussi obtenu le chrono temps absolu en 2011 sur la piste de Montmelo lors d'une petite série de boucles effectuée avant 10 heures. Hier c'était Mark Webber qui était le plus rapide. L'hégémonie de Red Bull semble donc se confirmer.

Ferrari, qui débutait ses essais aujourd'hui, est à 1"5 par l'intermédiaire de Felipe Massa, cinquième temps de la journée. Mais le Brésilien a tout de même engrangé près de 100 tours. Il n'a pas amélioré dans l'après-midi. Ce fut en revanche le cas de Sébastien Buemi qui a terminé à la deuxième place sur la feuille des temps après une simulation de course dans la matinée.

Hamilton se rapproche

Pastor Maldonado n'a pas fait de tour rapide ce matin en raison de soucis liés au SREC de la Williams. Il s'est en partie rattrapé après le déjeuner.

Matinée délicate également pour McLaren. Lewis Hamilton a effectué 38 tours. Il était alors à 7" du champion du monde. Mais il termine la journée à un peu plus d'une seconde.

Cinq drapeaux rouges ont émaillé la journée. Ils étaient occasionnés par Maldonado, Hamilton, Buemi, Petrov et Jérôme D'Ambrosio. Le Belge est à 7" du meilleur temps sur le Marussia Virgin.

Plus d'infos à suivre

temps



Source: espn f1.

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La FIA a apporté quelques modifications aux règlements encadrant le déploiement de la Voiture de sécurité, avec effet immédiat. Ces décisions font suite à la réunion du Conseil mondial du sport automobile, mardi à Paris.

Dès que la Voiture de sécurité entre en piste, les pilotes doivent diminuer leur vitesse. Cependant, ils n'avaient qu'un tour pour rejoindre le peloton, ce qui était parfois insuffisant. Cela a été corrigé.

"La limite de vitesse de la voiture de sécurité (diminution d'environ 40% du temps au tour) sera désormais en vigueur pour deux tours au lieu d'un. L'objectif est de veiller à ce que les voitures roulent à une vitesse raisonnable jusqu'à ce qu'elles atteignent la Voiture de sécurité", indique la FIA.

Voie des stands

De plus, la gestion de la voie des stands a été clarifiée pour éviter que certains profitent de la situation ou soient pénalisés injustement d'un point de vue sportif.

Par exemple, un pilote se butait à un feu rouge s'il s'apprêtait à quitter la voie des stands au moment où la Voiture de sécurité et le peloton passaient devant la sortie. De retour en piste, il se retrouvait ainsi bon dernier. Dorénavant, il pourra rejoindre le peloton sans attendre le passage du train.

"Le feu vert à la sortie de la voie des stands restera allumé pendant toute la durée d'intervention de la Voiture de sécurité, sauf si la course est suspendue par la suite."

Quant à l'entrée, un feu rouge accueillera les pilotes : "Aucune voiture ne pourra entrer dans les stands tant que la voiture de sécurité est déployée si ce n'est pour y effectuer un changement de pneus."

Cette provision ne s'appliquera pas si le peloton doit passer par la voie des stands pour éviter des débris sur la ligne de départ/arrivée.

Source: espn f1.