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Il n'y a pas d'adresse de retour, seulement l'adresse d'envoi...

Tout mes respects à GEOHOT !!

Bon si c'est les anonymous qui sont derrière ça je ne pense pas que les coordonnés bancaire soit mis en ligne. Ce n'est absolument pas leur but.

Un dossier taggé, moi ça ne m’étonnerai pas. Sony ayant délibérément fermé les yeux sur la menace.

Oui je crois que maintenant je suis soulagé

Il aurait trouvé un dossier nommé "Anonymous we are légion" c'est tous ce qu'il on trouvé a dire au congré US en guise de preuve ?
Non mais il vont pas gardé ca comme étant une preuve j'espère ? un peu de sérieux bordel depuis quand un Anonymous laisse des trace, en plus c'est pas comme si tous le monde connaissez leur slogan n'importe qui peut avoir foutu ce dossier pour que tous les regard ce tourne sur eu c'est trop facile.
Pire si ca trouve il y'a jamais eu de dossier Sony nous raconte ce qu'il veule personne na étais voir ce qui ce passe sur leur serveur.

Anonymous ne sont pas des inconnus.
Les campagnes les plus connues ont été dirigées contre l'église de scientologie (Chanology), MasterCard et Visa (Payback), Iran, Tunisie et Egypte (contre la censure durant les évènements de 2009 et le printemps arabe de 2011).
Combien de fois les Anonymous ont laissé comme signature un dossier portant leur nom avec dedans un slogan ? Zéro fois.

Toujours pas de PSN

HACKERS

d'après moi c'est plutôt vers SONY que nous devrions lever nos majeurs !

Ok Sonny les Hackers

Il est clair que c'est un choix budgétaire délibéré que de protéger "légèrement" les données personnelles de ses clients.
Données qui ne sont utiles qu'aux services marketing de Sony et de ses partenaires.
Pour l'accès au PSN seuls les ID de connexion (email, pseudo, mot de passe) sont utiles plus éventuellement numéro de carte bleue pour ceux qui n'aime pas les e-Card ou ne veulent pas aller en magasin acheter des cartes prépayées PSN.

Le 29 avril dernier, le blog officiel PlayStation annonçait un début de bonne nouvelle.

Nos employés travaillent jour et nuit pour permettre un retour le plus vite possible de notre réseau, et nous envisageons un possible retour de certains services dans une semaine à compter du 27/04/11.

En comptant bien cela nous amenait au 4 mai. Hier donc. Depuis toujours rien. Et aucune nouvelle communication hormis un "bientôt". Il est évident que Sony ne souhaite pas remettre son service en ligne tant que son inviolabilité n'aura pas été vérifiée, re-vérifiée, sur-vérifiée. Le problème réside d'ailleurs ici. Il est impossible d'assurer un réseau sûr à 100%. Impossible.

Dans le même temps, une rechute rapide du PSN aurait des répercussions encore plus dévastatrices sur l'image et le business de Sony. Alors que faire ? Il faudra bien se résoudre à remettre en ligne le PlayStation Network, de la manière la plus sécurisée possible. Inviolable ? Non. Guillaume Lovet, expert en cybercriminalité, nous l'avait d'ailleurs confié. Une situation qui complexifie diaboliquement la situation.

Pour autant, chaque jour apporte son lot de zones floues, de doutes, de manque à gagner pour les développeurs, de frustration pour les joueurs... 16 jours après l'arrêt du service et le début des auditions devant les tribunaux, on est en droit de se demander combien de temps va encore durer le black-out du PSN ? Quelques jours ? Une semaine ? Plus que ça ? Le dernier communiqué en date de Sony évoque désormais, et sans précision : "mai".

Une certitude, si le PSN n'est pas rétabli avant l'E3 (début juin), Sony fera alors face à une crise aux conséquences bien plus graves qu'on ne l'imaginait il y a encore quelques jours. Plus que jamais, comme Sony, joueurs, éditeurs et développeurs espèrent que la crise ne vire pas au drame économique et ludique. Le mode multijoueurs d'Uncharted 3 a besoin du PSN, Journey a besoin du PSN, Amy a besoin du PSN, Call of Duty a besoin du PSN, FIFA et PES ont besoin du PSN... tout comme tant d'autres jeux cruciaux pour le business online de Sony. Sans oublier la frustration des membres du PlayStation +, qui payent pour des "privilèges" supplémentaires.

La question est donc épineuse et réside dans la communication de Sony. Un exercice des plus délicats, mais indispensable en temps de crise pour ne pas laisser place aux rumeurs. A ce titre, il est plus que probable que le constructeur n'évoque plus de dates afin de ne pas gérer de déception si ces dernières ne sont pas tenues, mais en revanche communique activement sur les démarches entreprises concrètement et l'avancée de la situation.


Source: Gameblog

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Alors que Sony pointe le doigt sur eux, les Anonymous ne comptent pas se laisser faire et nient être impliqués dans le piratage du PSN.

Après les accusations d’hier lâchées par Sony, on se doutait bien qu’il ne faudrait pas longtemps au groupe d’hacktivistes Anonymous pour réagir. Dès hier, les hackers ont diffusé une lettre ouverte que Venture Beat s’est empressé de transmettre. Une ligne de défense décomposée en cinq points :

Premièrement, Anonymous se défend de n’avoir jamais volé de données bancaires :

« Anonymous n’a jamais été connu pour être engagé dans le vol de cartes de crédit. »

Secondo, Anonymous accuse les gouvernements et les entreprises de mentir pour les accuser à tort :

« Beaucoup de sociétés et de gouvernements qui sont nos adversaires sont connus pour avoir menti au public à propos d’Anonymous et de leurs propres activités. »

Après avoir listé divers exemples de mensonges, Anonymous passe au troisième point : la transparence du groupe de hackers.

« Anonymous est un mouvement transparent qui autorise les journalistes à nous observer au travail et qui a été extraordinairement ouvert avec la presse quand nous avons parlé de nos activités, c’est pourquoi les journalistes préfèrent nous parler pour avoir un compte-rendu précis de la situation plutôt que de parler aux fallacieux départements des relations publiques de nos cibles. »

Ensuite, Anonymous se défend d’opérer de la sorte. Et de quatre :

« Le “modus operandi“ d’un criminel change rarement. Peu importe qui a volé les données bancaires, le “modus operandi“ et les intentions sont contraires à ceux d’Anonymous. »

Et le grand final : Anonymous dérange.

« Le fait est qu’Anonymous a donné beaucoup d’inconfort à des entités puissantes comme Booz Allen Hamilton, Palantir, et une grande partie du gouvernement fédéral. […] Ces entités et d’autres se sont peut-être engagés dans des tactiques peu savoureuses qu’ils ont déjà pratiquées par le passé. »

Une fois leur argumentaire exposé, Anonymous se lance dans une conclusion qui sonne bien sur fond de musique patriotique :

« Si une enquête légitime et honnête sur le vol de numéro de cartes est conduite, Anonymous ne sera pas désigné coupable. Bien que nous soyons un groupe épars et décentralisé, nos dirigeants n’excusent pas le vol de cartes de crédit. Nous sommes concernés par l’érosion de la confidentialité et de l’usage juste, l’extension du féodalisme corporatiste, l’abus de pouvoir, et les justifications des dirigeants et des leaders qui se pensent être immunisés personnellement et financièrement pour les actions qu’ils commettent au nom des entreprises et des institutions publiques.

Anonymous continuera de travailler pour soutenir la transparence et les libertés individuelles ; nos adversaires continueront de travailler pour soutenir le secret et le contrôle. Le FBI va continuer d’enquêter sur nous pour désobéissance publique tout en continuant d’ignorer les crimes planifiés par les corporations majeures qui utilisent leurs services.

Nous ne pardonnons pas, même si les autres pardonnent à nos ennemis ces choses pour lesquelles nous sommes attaqués. Nous n’oublions pas, même si les autres n’arrivent pas à se rappeler. Nous sommes légion, et nous le resteront même si certains de nos membres sont arrêtés par les agents armés d’un système brisé. Nous sommes Anonymous. »

C’est bien beau tout ça, mais vous remarquerez que pas une seule fois, Anonymous nie avoir attaqué le PSN…

Source: Jvn.com