Assassin's Creed Revelations

Et revoilà donc notre beau brun ténébreux adeptes de l'escalade sans filet pour l'ultime aventure de sa "trilogie"



Car c'est maintenant officiel, Assassin’s Creed: Revelations sortira fin 2011 (novembre ) sur PS3, Xbox 360 et PC.
L'action devrait se situer dans la ville de Constantinople, au coeur de l'Empire Ottoman; et on devrait bénéficier d'un "prix de gros", car les 3 héros seront jouables ( Altaïr, Ezio & Desmond).

La base du mode multi serait celle de "Assassin’s Creed: Brotherhood" , mais améliorée.

J'ai hate d'en savoir plus sur les nouveautés J'ai toute la série et j'adore donc celui là sera a moi!

Je l'attendrais avec impatience. J'ai bien aimé le 1 et le 2.

On m'a prêté le 2 , j'ai moyennement accroché (bon j'ai pas joué des plombes non plus, à peine 1 heure 1/2).
J'espère que ce dernier opus va encore une fois nous en coller plein les rétines, avec une jouabilité "ouverte" et une durée de vie au moins équivalente à ses petits frangins

Ca ne serait pas le 4 plutôt? La trilogie existe déja...

Brotherhood est plus un 2.5 , un peu comme Vice City avec gta 3.

Comme vous le savez depuis la semaine dernière, le prochain épisode de la saga s'appellera donc Assassin's Creed : Revelations. Après une campagne de teasing sur Facebook, après la première image, puis une deuxième grâce à l'exclusivité accordée à nos confrères de Game Informer, voici enfin tous les détails croustillants !

C'est d'ailleurs grâce à l'article paru dans le mensuel américain que nous obtenons tous ces nouveaux détails... Il y a pas mal de biscuit, alors ouvrez bien vos oreilles. Enfin vos yeux. Peu importe, voici donc tout ce qu'il faut savoir sur Revelations pour être à jour :

Ezio recherchera des sceaux contenant des mémoires d'Altair qu'il pourra explorer, comme Desmond avec ses ancêtres grâce à l'Animus. Durant ces séquences, nous contrôlerons donc directement Altaïr.

Le jeu se déroulera dans quatre quartiers de Constantinople (Constantin, Beyazid, le quartier impérial et Galata), mais aussi à Cappadoce, un ancien pays d'Asie Mineure situé dans l'actuelle Turquie, connu pour "ses paysages pittoresques résultant du volcanisme et de l'érosion, pour ses églises rupestres ornées de fresques, ainsi que pour ses habitations troglodytiques et ses cités souterraines" (Wikipedia).

Ezio a plus de 50 ans au moment où se déroule cette nouvelle aventure.

Desmond sondera sa propre mémoire pour découvrir les mystères de son trouble passé durant des scènes clefs. Cela est rendu par un mode de l'Animus appelé la "Chambre Noire".

Pour rendre le jeu plus crédible et immersif, un nouveau système de capture faciale ("Mocam") a été utilisé par les développeurs, il allierait animation traditionnelle et "performance capture" à la L.A. Noire.




Une nouvelle arme fait son apparition : la lame-crochet (ou hookblade en anglais). Cette dernière permet d'utiliser des "tyroliennes" à travers les quartiers et donc de se déplacer nettement plus vite d'un point à un autre de l'environnement (selon Ubisoft, cela augmenterait la vitesse de nos déplacements d'environ 30%).
La lame crochet permet aussi d'attraper des ennemis et de les ramener vers soi pour enchaîner sur un combo.

Un nouveau système de crafting (d'artisanat si vous préférez) permettra à Ezio de fabriquer près de 300 types de bombes différentes.

Les contrôles devraient subir un changement avec B (ou rond) pour utiliser la lame-crochet et Y (ou triangle) pour les armes de jet telles les fameuses bombes.

La "vision d'aigle" deviendra le "sens de l'aigle". Cela permettra à Ezio de trouver plus facilement sa cible, et surtout de savoir approximativement où elle s'apprête à se rendre... idéal pour créer un piège avec une bombe ou tendre une embuscade.

Le concept des Tours Borgia est de retour mais sera tout de même bien modifié. Il y aura cette fois à travers tous les quartiers des "Repaires d'Assassins". Ezio devra donc prendre part à des scénarios d'assaut (plus variés que dans Brotherhood) visant à affaiblir la présence des Templiers. Une fois que vous aurez un repaire, vous pourrez améliorer petit à petit les bâtiments de la région, et notamment en ajoutant ces fameuses "tyroliennes", mais aussi circuler plus tranquillement (les gardes pouvant devenir de plus en plus neutres). Un repaire gagné pourra être menacé (et donc perdu), mais vous pourrez envoyer vos troupes les défendre ou encore placer un maître assassin dans l'un des repaires pour être tranquille. A noter que le niveau de vos assassins pourra cette fois aller jusqu'à 15 (au lieu de 10).

Les missions annexes seront désormais aléatoires. Vous vous baladerez et constaterez par exemple qu'un marchand a des ennuis, ou qu'une petite fille a besoin d'aide, etc.

Les scènes sondant la mémoire de Desmond proposeront un gameplay bien distinct, durant lesquelles l'action laissera place à des puzzles et à du narratif.
Le mode multi sera bien sûr de retour, et avec des améliorations : il proposera plus d'aspects narratifs, la possibilité de customiser l'apparence de son personnage et de ses armes, ou encore la possibilité de créer des guildes.

Voilà qui devrait rassasier un peu les fans en attendant de plus amples détails, informations et impressions en direct de l'E3, où Assassin's Creed : Revelations devrait sans aucun doute être l'une des grandes attractions !


Source: Gameblog

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Après trois épisodes sur consoles de salon, l'histoire de la série développée par Ubisoft n'est pas encore complète, loin de là. En tant que joueur, et n'ayant pas tous les détails du scénario initial sous la main, il est possible de se sentir quelque peu perdu, voire même déboussolé face à tous les évènements et protagonistes qui existent dans la franchise Assassin's Creed. Une histoire que nous pouvons donc qualifier de mystérieuse, mais également dramatique, avec son lot de conspirations et de voyages dans le temps. Trois héros, trois périodes différentes, reliés par un unique fil conducteur, l'Animus.

Il est maintenant par conséquent plus que temps de mettre tout ce que nous savons à plat et de clarifier tous les aspects de la série. C'est plus ou moins la vocation du dernier épisode de la licence, intitulé Assassin's Creed: Revelations, qui réunit les différents scénarios des précédents volets et lève le voile sur le background de toute la franchise. Que ce soit Altaïr, Ezio ou Desmond, tout nous est dit sur eux, et chacun aura son rôle à jouer dans l'histoire.



À la base considérée par Ubisoft comme une "expérience ambitieuse", la franchise Assassin's Creed a pris une toute autre valeur avec les ventes et les très bonnes critiques reçues à son sujet. De simple prototype à licence phare, il n'y a apparemment qu'un pas. La qualité est accrue à chaque nouvel épisode et Ubisoft fait l'objet d'énormément de demandes du public pour implémenter de nouveaux éléments dans ses jeux. Le développeur n'entend cependant pas s'atteler à la politique des DLC infinis, sans intérêt et infiniment chers, et préfère nous concocter un tout nouveau volet dans lequel les revendications des joueurs sont prises en compte, ce qui n'est finalement pas pour déplaire.

Assassin's Creed: Revelations innove et surprend encore plus que son prédécesseur, que ce soit au niveau du scénario, des lieux, et du gameplay. Déjà considéré comme magnifique, le second volet n'arrivera pourtant pas à la cheville de son cadet. La conclusion des histoires d'Altaïr et d'Ezio s'annonce énormissime, dixit les développeurs. Il faut dire qu'avant de penser à un éventuel Assassin's Creed III, et ce afin de ne pas embrouiller davantage les joueurs, il est nécessaire de mettre un point final aux aventures de nos deux héros.

Nous savons tous que pour faire un bon jeu, il faut quatre ingrédients : une histoire qui tient la route, une équipe prête à travailler de façon acharnée, de l'argent et surtout il faut du temps, beaucoup de temps. Or, Assassin's Creed: Brotherhood n'est sorti qu'en novembre dernier, soit il y a six mois, et un an pour développer un jeu est un délai très très court. Ubisoft sait qu'il n'est pas évident de tenir le rythme d'un épisode par an pour une grosse licence, mais c'est pourtant le pari que les développeurs se sont lancés, avec une sortie de Assassin's Creed: Revelations prévue pour novembre 2011, soit tout juste douze mois après son aîné.

Pour être certaine d'être dans les temps, l'équipe qui travaille sur la licence Assassin's Creed est composée de plusieurs centaines de personnes, réparties dans plusieurs studios d'Ubisoft. En plus des 200 employés des studios de Montréal, nous devons ajouter ceux d'Ubisoft France (basés à Annecy), Ubisoft Massive (Suède), Ubisoft Singapore (Singapour), Ubisoft Québec (ville de Québec) et Ubisoft Bucarest (Roumanie).

Le directeur créatif, Alexandre Amancio, s'explique quant à cette semi-délocalisation :

Assassin's Creed a toujours été une production d'Ubisoft Montréal, et Montréal restera le principal studio de développement de la série. Mais les données que nous avons à traiter sont colossales, et nous n'avons que très peu de temps devant nous. C'est une nouvelle aventure en coopération, avec des studios qui travaillent ensemble sur les différents aspects du jeu.

Chaque studio a des tâches précises à effectuer, du mode multijoueur aux séquences de gameplay exotiques. En terme de nombre de personnes dévouées au développement d'un jeu, Assassin's Creed: Revelations possède la plus grande équipe jamais impliquée dans l'histoire d'Ubisoft.

À chaque nouveau volet son background historique, avec son lot de richesses. Dans le précédent épisode de la série, Assassin's Creed: Brotherhood, nous explorions la ville de Rome à l'époque de la Renaissance, avec des références à l'environnement décliné dans Assassin's Creed II. En ce qui concerne le jeu à venir, nous serons amenés à visiter Constantinople au XVIème siècle, à l'apogée de l'Empire Ottoman. La ville de Constantinople a d'ailleurs porté de nombreux noms, tels que Byzance, Nova Roma, Tsarigrad... Ces changements sont dus aux différentes civilisations qui ont régné sur la ville. Tandis que les Occidentaux lui préféraient Constantinople, nom hérité de l'empereur romain Constantin, les Ottomans ont décidé de la baptiser Istanbul, et c'est sous ce nom que nous la connaissons depuis lors.

Peu importe le nom qu'elle a porté au fur et à mesure du défilement du temps, il n'en reste pas moins que la ville est habitée par différentes cultures et idéologies. Amancio dit de Constantinople qu' "elle est une ville de contraste, un mélange de populations. Cette ville est un foyer pour toutes les civilisations majeures depuis la nuit des temps. C'est une ville exotique avec une foule qui ne désemplit pas". C'est à cet endroit que l'Orient rencontre l'Occident, que les pauvres rencontrent les riches, et que les traditions religieuses se battent pour survivre et attirer l'attention des gens.

En 1511, Constantinople est depuis quelques décennies gouvernée par les Ottomans. Les Byzantins, qui régnaient avant eux, ont été chassés lors de la passation de pouvoir, mais certains subsistent et gardent une influence sur la ville et ce qui s'y passe. Parmi eux se trouvent les Templiers. Le sultan arrive à la fin de son règne, et ses descendants directs, fils et petits-fils, se battent pour prendre sa relève. Les conséquences sont dramatiques, avec des meurtres et une guerre au sein même de l'Empire Ottoman. Dans le jeu en revanche, il semble qu'un compromis a été trouvé. La ville est divisée en quatre grands districts, bordés par de multiples fleuves et des terrains vallonnés. Amancio nous déclare :

Jusque-là, les villes évoquées dans les différents épisodes de la licence étaient plates, sans relief. Dans Assassin's Creed: Revelations, peu importe l'endroit de Constantinople dans lequel vous vous trouvez, vous avez toujours en vue ce relief, accentué avec ses immenses bâtiments.

La célèbre basilique Sainte-Sophie est l'un des nombreux paysages que les joueurs pourront apercevoir dans le district impérial, une zone riche où trônent bâtiments de marbre, majestueuses mosquées et où vit une opulente population. Près de là, le district commercial de Beyazid, le forum d'Oz et la zone militaire. Plus à l'ouest se trouve le district de Constantin, où habitent les personnes les plus pauvres. Des bâtiments en bois délabrés surplombent les collines et leurs toits bas et inégaux présentent un défi intéressant pour les coureurs. Des ruines anciennes éparpillées au milieu de la misère, par exemple l'aqueduc de Valens, qui nous rappellent le poids historique du quartier

De l'autre côté des eaux de la corne dorée se trouve le district de Galata, unique partie de la ville de Constantinople à se trouver sur le continent asiatique. Multiculturel et inspiré de différentes civilisations, le district de Galata est plus cosmopolite que ses voisins, avec des influences grecques, italiennes, byzantines, asiatiques ou encore ottomanes. Amancio confirme l'étendue de la ville, « Constantinople est non seulement plus dense que Rome, mais aussi plus grande ».

Malgré cette vaste ville, les développeurs ont décidé d'agrandir encore la surface de jeu et d'autres lieux seront disponibles dans Assassin's Creed: Revelations, tels qu'une ville située non loin de là, Cappadoce. Célèbre pour ses sorcières, la ville souterraine est une cité templière. « C'est un peu comme entrer directement dans le ventre de la bête », plaisante Amancio. Cappadoce n'a d'ailleurs rien à voir avec tout ce que nous avons pu voir dans la série Assassin's Creed. Construite d'après les villes souterraines que nous pouvons rencontrer dans la Turquie actuelle, avec d'innombrables tunnels et chambres à perte de vue, Ezio devra évoluer dans des conditions difficiles, à la vue de ses plus grands et redoutables rivaux. En dehors des souterrains, nous trouverons une vaste zone de nature et de campagne dans laquelle nous passerons quelque temps supplémentaire et agrémenterons notre aventure.

Le lieu dans lequel Assassin's Creed: Revelations débute sera apparemment familier aux fidèles de la licence. Ezio commencera en effet son voyage par un pèlerinage dans l'ancien bastion assassin de Masyaf. Il arrive à la forteresse au Moyen-Orient environ 300 ans après sa dernière apparition, dans le premier épisode d'Assassin's Creed, et il a bien changé. Les décors et villages alentour se sont littéralement effondrés, seules subsistent les fondations du bastion. Ezio y découvre une surprise de taille, qui sera le point de départ du scénario du nouveau volet.

Dans Assassin's Creed: Revelations, Ezio a maintenant cinquante ans et vient à Masyaf pour découvrir la sagesse laissée derrière lui par son ancêtre, qui n'est autre qu'Altaïr.

Ezio voyage jusqu'au siège de son ancien ordre pour y trouver des réponses. Il a toujours été torturé à propos de sa vie d'assassin, héritée de son père et qu'il a choisie quand sa famille a été tuée. Il se remémore son passé et se demande à présent s'il a pris le bon chemin, s'il a vécu ce qu'il voulait vivre.

Les annexes d'Assassin's Creed II nous en apprennent beaucoup sur la vie d'Altaïr et ce qu'il a appris pendant ses dernières années. Au lieu de trouver les réponses qu'il cherche, Ezio apprend que Masyaf est maintenant sous la coupe des Templiers, et comprend rapidement que quelque chose de spécial y est caché. Si spécial que si les Templiers venaient à mettre la main dessus, ce serait tout simplement la fin des Assassins. Pour espérer trouver ce secret bien gardé, il lui faudra retrouver cinq sceaux antiques et les ramener à Masyaf.

À partir de ce moment, le scénario d'Assassin's Creed: Revelations est divisé en deux parties. La première est consacrée à la recherche des quatre premiers sceaux, qu'Ezio doit retrouver avant ses ennemis. Une course contre la montre que nous devrons gérer afin de faire perdurer l'ordre des Assassins. La seconde concerne quant à elle le cinquième sceau, déjà détenu par les Templiers. Nous devrons trouver les personnes qui le détiennent et leurs dirigeants afin de le récupérer, en nouant des contacts avec les plus hautes sphères de la société.

Nous ne serons cependant pas seuls dans cette tâche, puisque nous trouverons à Constantinople des alliés de poids, le premier étant Yusuf Tazim. Un personnage qui ressemble beaucoup à Ezio, dont nous aurons beaucoup à apprendre, et inversement. Une rivalité amicale s'installera entre les deux hommes. Nous rencontrerons également Manuel Palaeologos, riche, mystérieux et toutefois extravagant. Héritier de l'empereur byzantin, il est très proche des Templiers, et nous devrons déterminer ce qui prévaut entre ses relations et ses racines.

Ezio nouera aussi des liens avec le prince Ahmet et son neveu Suleiman. Le prince dirige la cité depuis que son père, le sultan, est parti sur le champ de bataille. Quant à Suleiman, il sera plus tard connu sous le nom de Suleiman le Magnifique, un des plus grands gouverneurs de l'histoire. Dans Assassin's Creed: Revelations, Suleiman est âgé de dix-sept ans et dirige une petite province qui lui a été donnée par son grand-père. Amancio nous donne des détails sur la relation entre Ezio et lui :

Suleiman voit la sagesse d'Ezio, et apprend beaucoup de lui. Ezio quant à lui remarque le potentiel du jeune gouverneur et sait qu'il deviendra quelqu'un de grand plus tard.

Enfin, Ezio fera la connaissance d'un personnage féminin, et non de moindre importance, en la personne de Sofia Sorto. Elle tient une librairie dans le centre-ville. D'origine vénitienne, elle a posé ses valises à Constantinople dans l'espoir d'apporter la culture à la civilisation. La récente invention de l'imprimerie ayant eu pour conséquence la prolifération des livres, sa boutique tourne bien et Sofia a une insatiable soif d'apprendre et de faire partager ses connaissances acquises par la lecture. Les rapports entre Ezio et elle sont très particuliers. Lui représente un homme aux desseins étranges, elle est pour lui un aperçu de ce qu'aurait pu être sa vie si son cœur n'avait pas été tant durci par sa vie d'assassin. Ezio ne pourra d'ailleurs jamais lui avouer le fardeau qu'il supporte depuis de si longues années.

Le tout dernier protagoniste, qui n'en est pas réellement un au sens physique du terme, est représenté par les cinq sceaux. Plus que de simples clés, ce sont de véritables reliques de la première civilisation. Ils comportent tous les souvenirs de la dernière personne à les avoir eus en main, qui n'est autre qu'Altaïr lui-même. Nous apprendrons des détails jusque-là inconnus de la vie de l'ancêtre d'Ezio, et pourrons l'incarner dans des niveaux spécialement conçus afin de lier ces détails entre eux et donner un nouveau sens à la série. Amancio nous éclaire à ce sujet :

Ezio vit les souvenirs d'Altaïr, et en apprend davantage également sur sa propre vie au travers de cette perspective. Il peut voir cet assassin incroyablement dévoué, et cela donne un tout autre sens à ses accomplissements personnels.




Nous avons pu découvrir et utiliser dans chaque nouvel épisode de la série des outils inédits venus s'ajouter à un arsenal déjà bien fourni. Cependant, peu d'entre eux ont réellement eu un impact sur notre façon de jouer et de tuer. En ce qui concerne Assassin's Creed: Revelations, une arme aura le dessus sur toutes les autres, la lame-crochet. C'est Yusuf qui la fera découvrir pour la première fois à Ezio, arrivé à Constantinople inconscient des innovations qui ont déjà fait leurs preuves chez les Assassins.

Yusuf est surpris quand il évoque la lame-crochet et qu'Ezio ne sait absolument pas de quoi il peut bien parler.

La lame-crochet est non seulement utile au combat mais également pour les déplacements. Avec le même principe que la lame cachée, nous pourrons nous servir de la lame-crochet pour nous accrocher aux toits et aux tyroliennes dispersées dans la ville grâce à son embout incurvé. Pendant que nous emprunterons ces tyroliennes, il sera possible d'en sauter et d'assassiner des gens en leur atterrissant dessus. Effet de surprise garanti. Ezio pourra également, comme auparavant, se balancer sur les coins des bâtiments et saisir des pots de fleurs suspendus, le petit plus avec sa nouvelle arme est qu'elle lui permettra de se servir de ces pots comme de trapèzes et de parcourir une plus grande distance en l'air avant d'atterrir dans les rues de la ville. Ezio aura également, grâce à cette lame-crochet, la capacité d'escalader plus vite les bâtiments qu'il ne le faisait avec ses bras pour seule force de traction. Selon Amancio, la vitesse est accrue d'environ 30 %, et rend par là même le jeu plus fluide et plus rapide, donc plus amusant pour le joueur.

La lame-crochet est également une innovation pour le combat. Avec son système de kills enchainés, AC: Brotherhood avait déjà révolutionné la série, mais il fallait toujours commencer par un contre défensif. Dans Assassin's Creed: Revelations, la lame-crochet apporte ce côté offensif qui manquait en déclenchant les enchaînements dès la première attaque d'Ezio.

La lame-crochet vous donne un nouvel outil pour initier un combat et la possibilité d'y être plus actif. Elle donne également la capacité d'éluder un combat.

En effet, la pression d'un simple bouton fait qu'Ezio pourra contourner un ennemi tout en le lacérant, et nous pourrons dans la foulée nous enfuir rapidement pour éviter les grandes batailles. Au final, « nous donnons beaucoup plus au joueur l'opportunité de choisir ce qu'il veut faire, combat et mouvement ne font plus qu'un », conclut Amancio.

Bien que la lame-crochet soit LA nouveauté de cet opus, Ezio dispose d'autres armes inédites, comme les bombes. En réalité, nous pourrons créer pas moins de 300 bombes différentes, chacune avec ses spécificités. Chaque changement d'ingrédient donnera une nouvelle particularité, comme la portée, la puissance, etc. Par exemple, l'une d'entre elles créera un flash qui distraira les gardes, une autre va générer un énorme nuage de fumée (celle-ci remplace les grenades fumigènes que nous avions auparavant), etc.

Les contrôles intégreront ces deux nouveaux outils grâce à un léger changement initié par les développeurs. Tandis que la lame-crochet s'utilisera avec le bouton Bouton (ou B pour les joueurs Xbox), les projectiles seront assignés à la touche Bouton (ou Y). Par conséquent, les armes secondaires devront être contrôlées par nous, joueurs. Nous pourrons utiliser notre épée pour tuer un ennemi, puis sortir la lame-crochet pour en décapiter un autre, et enfin lâcher une bombe pour détruire les vestiges des combats. Nous pourrons donc contrôler l'action plus facilement qu'avant.

En ce qui concerne la vision d'aigle, elle a été améliorée afin de faire à présent partie intégrante d'Ezio. Plus sage qu'auparavant, il utilise davantage ses sens pour percevoir le monde qui l'entoure. Nous pourrons ainsi attraper au vol quelques mots d'une conversation au loin, ou encore entendre le cœur d'une cible qui bat un peu trop rapidement. Ce sixième sens prend de plus en plus d'importance au fur et à mesure des épisodes de la série, et les fans que nous sommes peuvent voir son évolution depuis Assassin's Creed premier du nom.

La vision d'aigle permet de se concentrer sur un individu et l'endroit où il se trouvait. Vous connaîtrez approximativement le lieu où il se rendra. Si vous pouvez détecter le chemin que votre ennemi va emprunter, vous pouvez le devancer et poser un piège ou une bombe.




Au fur et à mesure que nous avancerons dans l'histoire d'Assassin's Creed: Revelations, nous serons confrontés à un nouveau gameplay qui défie le statut d'Ezio en tant que Maître Assassin et mentor. La guerre entre Assassins et Templiers est telle qu'elle s'étend à toute la Méditerranée. À l'instar des gangs qui régissent leurs territoires dans la série GTA et qu'il nous faut abattre pour prendre leur place à la tête des quartiers concernés, Assassin's Creed: Revelations nous fera prendre le contrôle de territoires sous la coupe des Templiers en reprenant le système des tours Borgia de AC: Brotherhood.

Nous avons réellement aimé les Tours Borgia dans Brotherhood, où nous devions reprendre la cité des mains des Templiers. Nous sommes partis de là, et avons totalement repensé le système pour en créer un qui soit entièrement nouveau.

La ville est divisée en plusieurs quartiers indépendants les uns des autres. Chacun est gouverné à partir d'un repaire d'assassins contrôlés par les Templiers. Pour obtenir ces repaires, il faudra les attaquer et les gagner des mains de leurs propriétaires. Les assauts seront cependant plus variés que dans le précédent opus, rendant la conquête des repaires plus attrayante et moins rébarbative. Une fois obtenus, ces repaires serviront de bases pour les opérations perpétrées dans Constantinople. Nous aurons la possibilité d'améliorer les bâtiments qui dépendent de la région où nous nous trouvons, repaire inclus, ce qui ajoute des tyroliennes pour relier les toits. Nous pourrons également changer les gardes, passant des rudes et sévères Templiers Byzantins aux troupes Ottomanes.

Également comme dans la licence de Rockstar, il est possible de perdre le contrôle de ses propriétés. Si nous attirons l'attention sur les Assassins, cela augmente les chances de subir une attaque des Templiers, qui essaieront de reprendre les repaires sous leur autorité. À nous de nous défendre contre ces assauts et garder nos biens. Nous aurons la capacité de mener nos troupes au combat, tout comme nous pourrons aussi désigner un groupe d'assassins qui le fera pour nous si nous n'avons pas le temps de nous en occuper. AC: Brotherhood proposait déjà ce système de délégation de missions, avec un pourcentage de réussite qui augmentait avec les niveaux des assassins que nous dédiions à ces tâches. Pour être certains de ne plus être inquiétés, Amancio nous recommande de placer un Maître Assassin à la tête d'un repaire, ce qui garantit que les Templiers nous laisseront tranquilles. Les assassins sous nos ordres pourront maintenant atteindre le niveau 15, contre 10 auparavant, et les feront passer de simples tueurs à des Maîtres Assassins. Il nous sera possible de customiser leur apparence physique et leurs capacités, mais plus nous les spécifierons et plus leur champ d'action s'en verra restreint. La customisation sera donc à manier avec prudence et parcimonie.

Avec un nombre d'adeptes accru, nous pourrons continuer à contrôler le monde et continuer notre guerre contre l'ordre des Templiers.

Beaucoup de villes par-delà la Méditerranée peuvent être contrôlées soit par les Templiers, soit par les Assassins. Vous pourrez acquérir ces cités district par district et ainsi contrôler l'économie locale et disposer de différentes récompenses, allant de l'argent liquide à des ingrédients pour la fabrication de bombes uniquement accessibles dans ces villes. Au lieu d'envoyer vos assassins accomplir des missions quelconques pour augmenter leur niveau, ils contrôleront la ville et donc la Méditerranée par la force des choses quand vous aurez acquis suffisamment de cités.

Une nouvelle mécanique de jeu donc, dont nous n'avons pas encore tous les détails, mais qui semble prometteuse de par sa possibilité de changer d'assassins à tout moment, et qui demandera aux joueurs de faire appel à leur côté stratégique.




La conception inédite du gameplay de Assassin's Creed: Revelations n'en est néanmoins pas la seule nouveauté, les développeurs ont en effet travaillé sur l'immersion dans le jeu, avec des joueurs qui agissent dans l'histoire, et non simples spectateurs de celle-ci. Ils se sont concentrés sur l'équilibre entre le jeu et la narration. Une équipe entière travaille sur le côté stratégique de l'épisode, afin de procurer au joueur une sensation incomparable d'interaction avec le jeu, particulièrement dans les séquences de gameplay linéaires. La caméra bouge en temps réel avec Ezio, se plaçant derrière lui quand il escalade un bâtiment, laissant apercevoir un groupe d'archers décocher des flèches vers lui quand il court le long d'une falaise, etc.

L'immersion accentuée passe également par les tâches secondaires que nous pourrons accomplir en ville. Elles apparaîtront par exemple quand nous marcherons au milieu de la foule grâce à des indications visuelles, telles qu'une petite fille qui pleure dans une allée ou un voleur qui subtilise des denrées à un marchand. Nous pourrons choisir de prendre part à ces missions ou tout simplement de continuer notre chemin. Les quêtes annexes orientées plateforme telles les grottes de Romulus du précédent épisode feront leur retour, mais nous ne savons pas encore dans quel contexte historique elles prendront place. Espérons que la caméra bénéficiera du même soin que celui apporté aux séquences linéaires.

Niveau réalisme, rien de tel que de s'inspirer de vrais acteurs pour créer les personnages d'un jeu. Pour le cas d'Assassin's Creed: Revelations, les développeurs d'Ubisoft ont utilisé une nouvelle technologie de capture de mouvements faciaux pour donner vie aux personnages. Connue sous le nom de Mocarn, elle est un mélange d'animation traditionnelle et de méthode de capture de mouvements comme celle utilisée pour le hit à venir de Rockstar, L.A. Noire.

Mocarn permet aux développeurs de capturer les mouvements faciaux d'un acteur, avec un casque posé sur la tête et une unique lentille sur le devant. En exprimant les émotions une par une, la caméra les fixe en images et quand l'une d'elles apparaît ensuite dans une scène, l'ordinateur la reconnaît et l'applique au personnage. Les responsables des animations modifient enfin à leur guise l'expression et l'ajustent jusqu'à obtenir le résultat escompté.

Le logiciel de reconnaissance d'émotions est relié à une technologie de capture qui contient des dizaines d'expressions différentes issues de la vie réelle et les combine ensuite afin de créer de nouveaux individus. Le résultat est impressionnant, avec une foule de citoyens uniques dans la ville, capables d'exprimer des émotions étonnamment réalistes. Autant dire que nous avons hâte de tester le jeu finalisé et d'admirer tous les détails et les traits des personnages. C'est d'ailleurs dans ce domaine que la technologie Mocarn se distingue des dernières innovations en la matière, car même si le personnage a un visage totalement différent de l'acteur qui a participé à la capture de mouvements, les performances et leur intégrité n'en sont en rien affectées.



Pour ceux qui n'ont pas encore joué à Assassin's Creed: Brotherhood, passez à la page suivante, celle-ci contenant des détails du scénario qui pourraient altérer l'expérience de jeu. Pour les autres, vous savez déjà qu'à la fin de l'épisode précédent, Desmond est dans le coma. Ceci a inspiré aux développeurs d'Ubisoft d'amener dans leur dernier opus l'idée de créer un jeu dans le jeu, et vivre les expériences de Desmond dans son propre subconscient filtrées par l'Animus.

Après une exposition excessive à l'Animus et les évènements qui se sont produits à la fin d'AC: Brotherhood, l'esprit de Desmond n'est plus qu'un vaste chaos. Les assassins qui l'ont trouvé n'ont pas eu d'autre choix que de le remettre à l'intérieur même de l'Animus, seul endroit où il pourrait survivre. Desmond tombe alors dans une salle qui se trouve derrière la Salle Blanche, nommée sobrement la Salle Noire. En réalité, cette salle de programmation contient la mémoire de notre ami, qu'il faudra reconstituer afin de sauver son esprit et lui rendre la vie.

Un tout nouveau gameplay, jamais encore exploité dans la licence, dans lequel nous devrons résoudre des puzzles et des énigmes au travers de séquences qui nous aideront à mieux comprendre l'histoire et le passé de Desmond. Les niveaux, dans un environnement surréaliste, sont un mélange entre les souvenirs fragmentés du personnage et la structure futuriste de l'Animus. Nous incarnerons donc Desmond avec une tout autre vue sur ce que nous connaissions, ou croyions connaître, jusqu'à présent.

Nous devrons aider Desmond à remettre de l'ordre dans ses souvenirs et ses pensées, et au fur et à mesure de la résolution des puzzles, il retrouvera la mémoire et réapprendra à contrôler son esprit. Pour se réveiller, il faudra que son esprit soit restauré. Le point clé est le moment précis où Altaïr, Ezio et Desmond s'alignent dans son passé. Malheureusement, notre ami n'est pas le seul à avoir subi la loi de l'Animus. Avant lui, le Sujet 16 s'y est déjà perdu éternellement. Peut-être que la Salle Noire nous permettra de retrouver, en plus de l'esprit de Desmond, la trace du Sujet 16 ?

Depuis le précédent volet, Ubisoft a implémenté dans sa licence un mode multijoueur, dans lequel tuer est plus que recommandé pour arriver au sommet. Assassin's Creed: Revelations suivra lui aussi cette voie, avec des environnements encore plus travaillés, de nouveaux lieux et personnages, ainsi qu'une personnalisation améliorée et un plus grand lien avec le scénario principal. La mission n'a pas changé, nous incarnerons des recrues Templiers amenées dans l'Animus et nous entrainerons aux techniques des Assassins. La différence se trouve au niveau de la narration, bien plus présente.

La narration est très importante dans Assassin's Creed, nous avons donc voulu accentuer ce point dans le mode multijoueur. Au fur et à mesure que vous prenez des niveaux, vous grimpez les échelons d'Abstergo. Vous serez informés de ce qui arrive à Abstergo. Vous aurez la possibilité d'aller dans les profondeurs de l'Ordre des Templiers et vous pourrez découvrir leurs motivations.

Pendant notre périple, il nous sera possible de customiser notre arsenal ainsi que notre apparence. Nous pourrons créer nos propres guildes et instaurer un uniforme qui nous représentera. Nous débloquerons des personnages et caractéristiques inédits tout au long du voyage. Certains pourront cependant être obtenus via des quêtes solo. Les nouvelles cartes pourront être jouées dans les deux modes multi (l'ancien et le nouveau) et nous aurons également la possibilité d'accomplir des quêtes plus orientées vers l'histoire, également à plusieurs, mais uniquement cette fois sur les cartes inédites.

Ubisoft ne s'arrête cependant pas là, et compte instaurer un système de tournois en multijoueur, fonctionnalité largement demandée par les joueurs. Nous pourrons également créer des sortes de playlists afin de garder en mémoire le type de match que nous et nos amis préférons et lancer les parties plus rapidement qu'auparavant, en ayant au préalable sélectionné et validé les paramètres. Autre fonctionnalité intéressante, nous pourrons désormais changer les options du jeu entre deux matchs et ainsi varier le plaisir du online.

En conclusion, nous pouvons dire que la suite tant attendue de la licence soulève de nombreuses questions scénaristiques, entre l'identité du Sujet 16, ce qui est arrivé à la première civilisation de Constantinople, ce qu'il est advenu de Shaun, Lucy et Rebecca, bien entendu ce qui est arrivé à Altaïr, le lien entre ce dernier, Ezio et Desmond, et bien d'autres choses encore. Avec un scénario alléchant et de nouvelles implémentations, nous n'attendons plus qu'une chose d'Ubisoft : la sortie du jeu afin d'avoir les réponses à nos interrogations.


Source: Ps3.gen

Ça va être loooooooong jusqu'en novembre.......

Wouaw, ça à l'air sympa quand même ....

je viens de finir le 2 il faut que je me lance dans Brotherhood.
Quand même le 2 est vachement long au moins 30 - 40 heures,si on décide comme moi de se farcir tous les points d'observations,plumes,missions d'assassinats,tombeaux et &ie en plus de la campagne qui est elle aussi est très longue.

Si le 3 propose la même ambiance graphique que le 2 (Venise la nuit ), ça promet du très grand

et sinon Brotherhood,ça tiens la route comme le 2(durée de vie,gameplay,scénario) ou je peux m'en passer?

Je dirais au moins la même durée que pour le 1.
Je n'ai joué que très peu à Brotherhood (2 heures), mais j'ai jamais vraiment commencé l'aventure.
En gros au début c'est un gros tuto (tu fais quand même des actions, mais ça reste scripté), qui dégrossi et qui met en place l'histoire.

D'après le collègue qui me l'a prêté, la suite est beaucoup + vivante et y'a de quoi s'occuper (surtout si tu veux faire toutes les missions annexes )